Un Gouvernement qui a à cœur notre alimentation

 

 27 novembre 2020

Le gouvernement de la CAQ démontre qu’il voit grand pour l’avenir de notre agriculture en annonçant son intention de réformer la gouvernance de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA). Contribuant au développement du secteur agroalimentaire québécois depuis plus de 50 ans, l’Institut forme plus de 1000 étudiants annuellement. La réforme annoncée va permettre aux jeunes désireux d’y étudier de bénéficier d’une formation mieux adaptée aux nouvelles réalités, et leur offrira le support nécessaire pour se réaliser entièrement pendant et après l’obtention de leur diplôme, et ce, au bénéfice de l’économie de nos régions.

L’ITA devient ainsi l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ), et sera désormais gérée par un Conseil d’administration. Le projet de loi 77 déposé par le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. André Lamontagne vise à apporter les correctifs réclamés depuis des décennies pour accorder un degré plus élevé d’autonomie et de flexibilité à l’ITAQ vers l’atteinte de sa mission éducative. Elle aura toute la latitude nécessaire pour développer et adapter ses programmes de formation aux besoins du marché ainsi qu’aux nouvelles formes d’agriculture, dont l’agriculture biologique et écoresponsable.

Rappelons que le 19 novembre dernier, le ministre Lamontagne a dévoilé son plan pour accroître l’autonomie alimentaire du Québec, lequel inclut la création de 3 800 emplois qui seront comblés en bonne partie par les diplômés de l’ITAQ. Le plan annoncé prévoit également un investissement de 92,5 millions $ destiné à soutenir la croissance de l’offre alimentaire et à accroître la productivité de nos PME agroalimentaires québécoises.

Une fois de plus, notre gouvernement répond « présent » pour nos producteurs et transformateurs québécois !

 

Voici le lien vers le communiqué : https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/formation-agroalimentaire-le-ministre-lamontagne-depose-un-projet-de-loi-pour-dynamiser-linstitut-de/

Le Plan pour une économie verte 2030

 

 16 novembre 2020

Le Premier Ministre François Legault et le Ministre de l’Environnement et de la lutte contre les changements climatiques ont dévoilé, ce matin, le Plan pour une économie verte 2030 (PEV 2030). Ce plan s’inscrit notamment dans la volonté de notre gouvernement d’atteindre les objectifs du Québec en matière de réduction des émissions de GES de 37,5% en 2030 par rapport à 1990 et dans la volonté de relancer notre économie d’un angle écoresponsable. Voici les principaux points abordés :

– Priorité accordée à l’électrification dans le secteur des transports, du chauffage et des activités industrielles avec une aide de 3,6 milliards de dollars sur cinq ans.

– Aide de 401 millions de dollars servant à favoriser l’émergence de nouvelles entreprises dans des secteurs stratégiques et écoresponsables.

– Investissements de 307 millions de dollars pour l’amélioration de notre efficacité énergétique.

– Plus de 384 millions de dollars consacrés à l’adaptation aux impacts des changements climatiques.

La CRCAQ a à cœur les questions d’équité intergénérationnelle et les enjeux climatiques et environnementaux s’inscrivent bien évidemment dans cette lignée. C’est pourquoi depuis plusieurs années, la CRCAQ défend et valorise les progrès vers une transition plus écoresponsable. Tout dernièrement, lors de notre Congrès 2020, nous avons proposé l’objectif d’atteindre la carboneutralité en 2050 au Québec. Nous sommes à présent fiers de dire que nos revendications ont été entendues, étant donné le fait que cette même proposition s’inscrit dans l’annonce du PEV 2030.

 

Pour plus d’information, cliquez sur ce lien.

Implique-toi dans ta région ou sur ton campus

 

 14 novembre 2020

La Relève a récemment procédé à l’élection à la présidence de 17 associations régionales et elle souhaite aller encore plus loin pour vous offrir une expérience d’implication satisfaisante !

Étant donné le fait que le militantisme à l’heure de la COVID-19 est plus difficile, l’exécutif de la Relève souhaite créer un environnement virtuel dans lequel chaque membre pourra participer aux discussions politiques entourant l’aile jeunesse tout en socialisant.

Cela pourra se faire via le Conseil des représentants qui rassemblera tant l’exécutif national, les associations régionales et les comités de campus. Nous ferons des groupes d’intérêts sur différents sujets politiques qui vous touchent afin de développer du contenu politique et surtout des discussions enrichissantes.

Vous pourrez être délégué sur le Conseil des représentants en représentant votre circonscription dans votre association régionale ou encore votre faculté dans votre campus.

Pour déposer votre candidature, vous n’avez qu’à remplir ce petit formulaire.

 

Pour toutes autres questions, vous pouvez nous écrire à president@crcaq.org

Les candidatures reçues

 

 14 novembre 2020

Nous sommes heureux de vous présenter les candidatures reçues pour le poste de responsable aux affaires politiques et responsable aux communications. Le vote aura lieu par l’exécutif de la Relève, le conseil de régions et les présidents des campus universitaires le 21 et 22 novembre.

Les candidatures au poste de responsable aux affaires politiques:

  • Gabriel Jarvis
  • Anthony Matar
  • Jean-François Simard

Les candidatures au poste de responsable des communications:

  • Catherine Pelletier
  • Daniel Roy-Lamontagne

 

Responsable aux affaires politques

Gabriel Jarvis

J’ai commencé mon militantisme à l’aube de mes 16 ans en 2014.  J’ai depuis acquis de l’expérience politique à travers diverses instances où j’ai su défendre les intérêts du Québec et j’ai pu me construire une vision militante engagée.  Du mois d’août jusqu’au mois de novembre 2020, j’ai eu la chance de succéder à l’excellent Étienne-Alexandre Beauregard à titre de responsable des affaires politiques.  J’ai notamment eu la chance de contribuer à la construction du congrès virtuel en moussant les débats dans le forum de discussion et en poursuivant l’orchestration des idées autour des thèmes politiques ciblés.

Pendant mon mandat intérimaire, j’ai travaillé à ce que la CRCAQ fasse davantage de sorties médiatiques et j’ai mis l’épaule à la roue afin de multiplier les contacts avec nos militants malgré la pandémie. En effet, j’ai participé à l’élaboration du sondage de la CRCAQ lancé en octobre dernier, afin de prendre le pouls de nos membres pour orienter nos sorties médiatiques et nos actions futures.  J’ai également participé à la mise sur pied de la conférence sur la langue française avec Simon Jolin-Barrette, ayant eu lieu au mois de novembre.  Pour moi, être à l’écoute de nos militants est vital pour notre formation politique et je continuerai de ramer en ce sens. D’ailleurs, je ferai de la commission politique une table de concertation regroupant des membres de tous les horizons pour que nous puissions adopter la meilleure plateforme lors du congrès de 2021.

Mes priorités sont axées sur le nationalisme et l’éducation.  Comme bien des membres, je crois que notre aile jeunesse se doit de rester nationaliste et pragmatique.  Étudiant présentement en éducation, je ne peux mettre de côté ce même thème qui mérite d’être revisité et dans lequel il est plus que jamais important de réaffirmer l’importance de la liberté académique et d’expression pour le bien de notre démocratie et de nos campus étudiants.

 

Anthony Matar

Chers membres de la Relève

Je mets de l’avant ma candidature au poste de responsable aux affaires politiques de la CRCAQ pour plusieurs raisons que j’énumèrerai dans ce court texte. Tout d’abord, il me ferait plaisir d’amener avec moi mon lot d’expérience professionnelle accumulée lors de mes emplois tant dans l’opposition avec le parti Conservateur à Ottawa dans le bureau de la députée de Beauport – Côte-de-Beaupré – Îles d’Orléans – Charlevoix qu’au gouvernement au sein du bureau de la ministre des Transports et des Affaires Francophones de l’Ontario, Caroline Mulroney. Dans les deux cas, j’ai agi comme conseiller politique. Cela est un atout pour le poste convoité.  De plus, j’ai travaillé comme consultant chez Hatley Stratégies sous le leadership de Carl Vallée, l’un des responsables de la transition après l’élection historique de la CAQ en 2018. Chez Hatley, j’ai appris à communiquer des demandes politiques à des élus de façon efficace. Cela aiderait la CRCAQ à faire cheminer ses propositions aux différents bureaux de ministre pour que nos membres se fassent entendre à Québec. En plus de cela, j’ai été directeur de campagne lors de la dernière campagne électorale fédérale. Au-delà de tous les défis organisationnels, ceux-ci m’ont préparé à adresser des enjeux locaux et préparer mon candidat aux multiples débats auxquels il a participé.  Je suis un étudiant à la dernière année en comptabilité. Je suis un fier nationaliste québécois, car je reconnais l’importance de préserver les valeurs que ceux qui ont vécu sur ces terres se sont battus pour préserver, mais aussi de préserver ce qui rend le Québec si unique en Amérique et au monde, bien franchement : sa langue, sa culture et la fierté de son peuple. Je vous demande de me permettre de mettre à profit mon expérience pour faire avancer les priorités des jeunes caquistes.

Jean-Francois Simard

Titulaire d’une maitrise en finance de l’Université Laval, je travaille comme conseiller en développement économique pour une MRC. Également impliqué à la CAQ depuis 2014, j’y ai occupé diverses fonctions dont attaché politique pour le député de Chauveau, directeur de campagne, président de CAL, ainsi que responsable des affaires politiques de la Relève en 2017-2018. Je désire mettre à nouveau ma vaste expérience des instances caquistes au service de notre aile jeunesse.

L’implication politique constitue un excellent moyen de faire avancer nos idéaux pour notre nation, et la Relève est une belle plateforme pour y parvenir. À mon avis, un responsable aux affaires politiques se doit d’être un porte-parole efficace des idéaux de l’ensemble des membres qu’il représente.

Depuis quelques temps, les membres de la Relève démontrent des orientations politiques diverses. Le titulaire du poste devra en tenir compte lors de la rédaction du cahier de propositions de notre prochain congrès. C’est pourquoi je me propose d’être le candidat du compromis, en vous offrant entre autres la possibilité de choisir démocratiquement les enjeux à aborder.

À un moment critique de notre histoire, deux sujets particuliers me préoccupent : l’économie et la santé. La crise a fragilisé nos entreprises et nos emplois, en plus de nous appauvrir nous, les jeunes. Notre système de santé a démontré plusieurs lacunes, entre autres dans l’accès aux soins en santé mentale. Tout en faisant valoir un nationalisme convaincant, je vous propose de mettre un accent sur ces enjeux déterminants pour notre avenir national.

 

Responsable aux communications

Catherine Pelletier

Il y a plus d’un an, je suis arrivée, à la suite d’une consécution d’événements, à mon premier congrès de la CRCAQ. J’y ai rencontré des personnes incroyables, mais surtout, j’y ai trouvé une fratrie qui m’a tout de suite accrochée. J’ai immédiatement adhéré à la CRCAQ pour son ouverture, pour son écoute, mais aussi pour les personnes qui en font partie.

Être une femme est une tâche qui nécessite de la patience. On fait face à de nombreux défis. Cependant, être une femme en politique est une autre chose. En effet, on s’attend à ce que nous fassions ce que les hommes font et de la manière que les hommes le font. Par contre, j’ai senti, au sein de la CRCAQ, que la féminité était légitime. J’ai appris à aimer faire partie de ce groupe et j’ai envie de faire comprendre à autrui que l’implication politique, quelle qu’elle soit, aussi imparfaite soit-elle, est élémentaire à un cheminement de vie adulte; c’est notre devoir, et ce devoir commence avant même de faire nos premiers pas dans un bureau électoral.

J’ai l’intention de prendre mes expériences vécues lors de la dernière année au sein de la CRCAQ pour mieux mobiliser les jeunes, particulièrement les jeunes femmes. C’est en misant sur l’avenir et sur la reconnaissance de la compétence de tous et toutes que nous réussirons à garder une aile jeunesse solide.

Récemment diplômée en communication lors de la première étape de mes études supérieures, je poursuis présentement un parcours en science politique à l’université McGill. Les atouts que j’ai pu acquérir lors du passé me permettront de mettre en valeur les exploits de la CRCAQ ainsi que de mettre l’accent sur la valorisation de nos membres. Ainsi, je suis prête à faire face aux défis organisationnels qu’impose ce poste et en faire une expérience enrichissante pour tous et toutes.

Au plaisir, de travailler pour vous, mais surtout, avec vous

 

Daniel Roy-Lamontagne

Je m’appelle Daniel Roy-Lamontagne et je viens de Salaberry-de-Valleyfield, en Montérégie. Musicien à ses heures, je détiens une technique en comptabilité et gestion et je suis présentement étudiant au baccalauréat en administration des affaires aux HEC Montréal pour devenir un jour CPA. Au cours de mon parcours collégial j’ai eu la chance de m’impliquer dans plusieurs activités parascolaires, que ce soit l’association étudiante, le club entrepreneur ou encore le Forum étudiant à Québec!

En tant que Représentant des communications, je m’assurerais de travailler en collaboration avec mes collègues de l’exécutif afin d’élaborer et implanter le plan de communication de la CRCAQ. Je m’assurerai aussi de maintenir la liaison entre le Conseil exécutif et nous tous, les jeunes membres de la CAQ!

Un des aspects qui m’intéresse le plus avec la communication est d’ailleurs cette idée d’échange qui ne doit pas être à sens unique. Il faut que ce soit un partage top/down bottom/up, c’est-à-dire que l’exécutif puisse passer efficacement son message à tous les jeunes, mais que chaque membre puisse également se faire écouter et que la structure en place puisse nous permettre de nous exprimer et nous faire entendre. Ce serait un des aspects les plus importants que je considérerais en tant que futur Responsable des communications pour la CRCAQ!