Fier de protéger notre avenir par une conscience verte

 

 27 août 2021

Mon nom est Nicolas H. Isabelle. Âgé de 23 ans, j’ai étudié en histoire et en relations publiques pour mieux comprendre notre société. Depuis l’élection de notre gouvernement, je soutiens les citoyens du comté de Bourget à titre d’attaché politique au sein de l’équipe du député Richard Campeau.

Si je suis impliqué avec la CAQ, c’est parce que j’ai confiance en notre Premier ministre François Legault et en ses moyens pour faire avancer le Québec tout en étant un exemple mondialement reconnu en environnement. Lors de mon entrée en politique active, je savais qu’il serait en mesure de constituer une équipe solide ayant à cœur les intérêts des Québécois. Lorsqu’on parle d’augmenter le niveau de richesse des Québécois pour améliorer leur qualité de vie, d’accroître la formation des Québécois et de développer notre économie en respect avec l’environnement, cela me donne l’espoir d’une société meilleure.

À l’aube des prochaines élections, force est de constater que nous réalisons nos objectifs. La CAQ a été largement critiquée, et à tort, sur son absence de programme environnemental. Nous avons pourtant implanté au cours des dernières années une série de mesures concrètes et ambitieuses pour faire mieux en environnement. Parmi ces mesures, mentionnons l’élargissement de la consigne permettant de récupérer quatre milliards de contenants en verre et un milliard de bouteilles en plastique supplémentaires. Une autre grande fierté réside dans l’entente que le Québec a conclue avec les nations autochtones innues pour la réalisation du Projet Apuiat destiné à produire 200MW d’énergie verte, ce qui représente un pas de plus pour devenir la batterie du nord-est de l’Amérique du Nord. N’oublions pas de souligner qu’aucun gouvernement du Québec n’a autant investi en environnement que celui de la CAQ : le Plan pour une économie verte prévoit d’ailleurs des investissements de 6.7 milliards$ pour les cinq prochaines années, du jamais vu !

Le Québec est une grande nation qui a encore beaucoup à faire afin de se démarquer. En tant que jeunes, nous avons une voix au sein de la Commission Relève de la CAQ (CRCAQ) afin de nous faire entendre sur les enjeux qui nous tiennent à cœur. Je vous invite à vous joindre à nous pour le congrès du 18 et 19 septembre prochain, en personne ou virtuellement!

 

Par Nicolas Huard-Isabelle, président régional Montréal-Est 

 

*Texte écrit à des fins personnelles, et non professionnelles.

Fière de prioriser l’éducation

 

 20 août 2021

D’aussi loin que je me souvienne, transmettre des connaissances et aider les autres ont toujours fait partie de mon ADN. Bien sûr, en vieillissant, j’ai voulu apprendre différents métiers, mais je revenais rapidement à ce qui me passionnait : l’enseignement. On m’a toujours dit : « Trouve un emploi qui te passionne et tu n’auras jamais l’impression de travailler ».  Aujourd’hui, je peux dire que je réalise mon rêve, étudiant présentement au Baccalauréat en enseignement en adaptation scolaire et sociale. Et je ne me verrais pas ailleurs.

Dès l’école secondaire, on doit faire des choix qui auront un impact sur notre vie. À l’âge de 18 ans, on doit déjà se positionner et donner notre appui lors des élections. Heureusement, faire ce choix a été assez naturel pour moi. J’ai choisi assez tôt d’appuyer la CAQ et ce, avant même de commencer à m’impliquer activement en politique. Avec son passé comme ministre de l’Éducation et sa motivation de créer une nouvelle option politique dont les Québécois(es) seraient fier(ère)s, je me sentais déjà en confiance d’appuyer François Legault. Après quelques rencontres avec Monsieur Legault, où j’ai eu l’opportunité d’échanger avec lui sur des enjeux en éducation, je me suis dit qu’en tant que future enseignante, je devais lui laisser une chance de faire ses preuves comme Premier ministre. À ce moment-là, je me disais que, de toute façon, il ne pouvait pas faire pire que les autres.

La maternelle 4 ans accessible à tous, l’augmentation des services professionnels spécialisés dans le milieu de l’éducation et la valorisation de la profession d’enseignante, entre autres, ont toutes été des promesses de la CAQ pendant la dernière campagne électorale. La valorisation de la profession était la promesse qui me tenait le plus à cœur, car les conditions de travail des enseignant(e)s ne sont pas les plus évidentes, alors que nous formons pourtant les prochaines générations. Aujourd’hui, je suis fière de dire que j’ai choisi un Premier ministre qui respecte ses engagements. L’augmentation historique et notable des salaires des enseignants dès leur embauche en est d’ailleurs un exemple concret.

Étant maintenant étudiante et suppléante dans plusieurs écoles, je sais que j’ai choisi le bon métier. Je dois quand même dire que le travail est loin d’être terminé. C’est toi et moi qui pouvons faire bouger les choses au Gouvernement du Québec. C’est pourquoi je t’invite à te joindre à moi virtuellement les 18 et 19 septembre prochain lors du congrès de la Commission de la relève de la CAQ (CRCAQ) pour discuter des enjeux en éducation.

Une future enseignante qui est passionnée.

 

Par Arianne Lebel, vice-présidente CRCAQ et future enseignante

Fière d’influer sur la santé durable des Québécois(e)s

 

 12 août 2021

Je m’appelle Ariane Thibault, je suis présidente régionale du Centre-du-Québec au sein de la CRCAQ. Je suis également membre de la commission politique de la CRCAQ. De plus, je suis médecin résidente en médecine de famille, qui est un travail que j’affectionne particulièrement.

Je suis fière de m’impliquer en politique pour amener des propositions concrètes au bénéfice de la population québécoise. Par ma formation, je suis sensibilisée à l’importance et la nécessité d’avoir une population en bonne santé et non seulement sur le plan physique, mais également sur le plan psychologique. La recette pour y arriver se résume en deux mots : éducation et prévention. Si on veut maximiser nos chances de réussite, nous devons favoriser la prise en charge précoce des problèmes de santé, et ce, chez toutes les personnes de notre société. Je crois fermement qu’il faut prioriser l’amélioration de l’enseignement et la prévention de multiples problématiques tels que les problèmes de santé psychologique et la lutte aux maladies cardiovasculaires et à l’obésité. Il faut également une meilleure prise en charge des victimes d’agressions sexuelles et des enfants pris avec des troubles de développement pédiatrique, entre autres. Je crois fortement que nous pouvons faire encore mieux et nous permettre, en tant que société, d’être davantage en santé et épanouie.

Afin de pallier ces problématiques, le gouvernement du Québec a annoncé durant son mandat actuel plusieurs projets intéressants en santé et services sociaux. Il est facile de penser au programme Hors-piste qui apprend aux jeunes dans les écoles à gérer l’anxiété précoce, ou encore aux travaux sur l’utilisation des écrans sur la santé des jeunes. De plus, je suis très enthousiaste par rapport au soutien colossal offert aux organismes intervenant auprès des conjoints violents, ainsi qu’aux investissements importants déployés en santé mentale et à l’hébergement destiné aux personnes atteintes d’autisme ou de déficiences. N’oublions pas la nomination d’une directrice nationale de la protection de la jeunesse, le programme Agir tôt permettant une meilleure surveillance des troubles de développement des enfants et l’augmentation des services pour le soutien à domicile des personnes âgées, lesquels ont été des points forts de notre Gouvernement dans la dernière année.

Pour influencer tout comme moi les prochaines résolutions ambitieuses et pragmatiques de la Relève de la CAQ, dont celles impliquant les politiques en santé et services sociaux, je vous invite à participer à notre Congrès en ligne qui aura lieu les 18 et 19 septembre prochains.

Au plaisir de vous y voir !

 

Par Ariane Thibault, médecin et présidente régionale Centre-du-Québec

Pour un Musée de l’histoire nationale du Québec

 

 6 août 2021

Pour la Commission Relève de la CAQ, l’histoire québécoise est d’abord une source de fierté, et c’est en la faisant connaître que nous pourrons rassembler tous les Québécois derrière elle. Pour y parvenir, nous souhaitons la création d’un Musée de l’histoire nationale du Québec, dont la mission serait de vulgariser et de promouvoir notre récit collectif.

Notre histoire, une source de fierté et d’unité

L’histoire du Québec, c’est avant tout celle d’une nation francophone en Amérique, qui a réussi depuis quatre siècles à développer son unicité. C’est le récit de la survie et de l’épanouissement d’une culture singulière et francophone dans un continent massivement anglophone, et cette différence collective a de quoi nous rendre fiers. L’histoire du Québec, c’est aussi l’histoire de l’apport des peuples autochtones et des communautés culturelles qui ont contribué à notre récit collectif.

Pour toute nation, l’histoire est une mémoire partagée, un récit qui permet de se rassembler autour de ce qui nous unit et de donner un sens à la collectivité. Il faut connaître ses lumières, mais aussi ses zones d’ombres, pour mieux vivre ensemble tout en écrivant les nouvelles pages de l’histoire de notre peuple. La Relève caquiste croit qu’il est temps de marquer un grand coup pour la promotion de notre aventure nationale en créant un musée qui lui serait entièrement consacré.

Un musée pour promouvoir notre histoire

Actuellement, il n’existe aucun musée d’envergure qui soit dédié spécialement à la vulgarisation et à la mise en valeur de l’histoire québécoise. Pourtant, il s’agirait d’une institution incontournable pour les sorties scolaires, pour les touristes et pour les nouveaux arrivants qui souhaitent s’intégrer à notre nation. Alors que le gouvernement investit dans la création d’Espaces bleus partout au Québec, un Musée de l’histoire nationale du Québec pourrait collaborer avec ce nouveau réseau d’institutions muséales, notamment par la conception d’expositions mettant en valeur les grands personnages et les événements importants des 400 ans d’histoire de notre nation.

La Relève caquiste croit en une histoire québécoise populaire et rassembleuse, une “épopée en Amérique” qui culmine aujourd’hui en une société moderne et unique au monde. Nous n’avons pas à nous excuser pour notre histoire, bien au contraire. C’est en la faisant connaître que nous retrouverons la fierté d’appartenir à un peuple qui lutte depuis des siècles pour préserver sa différence.

 

Keven Brasseur, président de la Commission de la Relève de la CAQ