Congrès CRCAQ 2024 : une autre preuve de l’influence de la Relève !
13 septembre 2024
La Commission de la Relève de la Coalition Avenir Québec (CRCAQ) est très fière du retentissant succès de son dernier Congrès annuel, qui s’est déroulé le 7 septembre dernier à Saint-Hyacinthe. Sous le thème « L’École qu’on aime », cet événement fut l’occasion pour les membres présents de discuter de l’avenir de l’éducation au Québec et d’aborder des sujets aussi variés que le parascolaire, les modèles éducatifs et le civisme à l’école.
La journée a débuté avec une allocution des ministres Bernard Drainville et Pascale Déry, suivi d’un discours passionné livré par notre présidente, Aurélie Diep, dans lequel elle a fait un vibrant plaidoyer en faveur d’une école qui fait une place pour tout le monde, dans une culture de respect mutuel. Elle en a profité pour lancer un appel à tous les jeunes nationalistes qui voudraient joindre le mouvement de la CRCAQ.
« La Relève caquiste, c’est LE mouvement des jeunes nationalistes, des
jeunes ambitieux, des jeunes pragmatiques. On est des centaines de jeunes de 16 à 30 ans, qui sont là pour les bonnes raisons.
Et on va avoir besoin de vous dans les prochaines années. Pour continuer de réfléchir au Québec qu’on veut, au Québec qu’on aime…et pour faire réélire notre gouvernement en 2026! »
– Aurélie Diep
La journée s’est poursuivie dans une toute nouvelle formule, dans laquelle des panels d’experts étaient appelés à se prononcer sur chacun des thèmes en même temps que les plénières où les membres pouvaient s’exprimer sur les propositions qui leur étaient soumises, ou encore poser des questions aux panélistes. Chaque panel se terminait avec la mise aux voix des propositions liées au thème.
Nous avons également eu droit à une conférence de la championne de boxe Marie-Ève Dicaire, ainsi qu’à une allocution des députées et des ministres hôtesses, Chantal Soucy et Suzanne Roy. La journée s’est terminée avec un discours du premier ministre, François Legault, qui a félicité les membres de la CRCAQ pour leur implication. Il en a en outre profité pour demander au ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, de préparer un plan pour ramener la discipline et le civisme dans les classes, annonce que la Relève salue.
« Le respect se perd… C’est vrai à l’égard des policiers, c’est vrai à l’égard des enseignants, c’est vrai à l’égard des élus. C’est comme si tout le monde avait des droits, mais comme si personne n’avait de devoirs. Et c’est comme si on n’avait pas le droit de sanctionner personne ! »
– François Legault
En rappel, voici les propositions adoptées par les membres lors des plénières :
Pour des élèves actifs et impliqués
1.1 La Commission de la Relève de la CAQ propose d’encourager l’activité physique en assurant le déploiement d’activités parascolaires sportives récréatives et en rendant accessibles les installations et équipements sportifs des écoles en dehors des heures de cours.
1.2 La Commission de la Relève de la CAQ propose que la participation aux activités parascolaires, tant au primaire qu’au secondaire, soit formellement reconnue par une attestation ou une inscription au bulletin scolaire.
De multiples voies vers la réussite
2 La Commission de la Relève de la CAQ propose d’instaurer des programmes d’obtention d’un Diplôme d’études secondaires en 4 ou 6 ans, et de permettre la poursuite d’une formation professionnelle durant les études secondaires.
Instaurer une culture du civisme
3.1 La Commission de la Relève de la CAQ propose de promouvoir le civisme à l’école en faisant du vouvoiement envers les enseignants et le personnel scolaire la norme dès la maternelle; en généralisant le port de l’uniforme au secondaire; et en impliquant les jeunes dans les tâches de l’école. (amendée)
3.2 La Commission de la Relève de la CAQ propose que les élèves coupables de violence et d’intimidation, ainsi que leurs parents, soient tenus d’assister à des formations obligatoires visant à réparer leurs actions et à changer de comportement.
3.3 La Commission de la Relève de la CAQ propose que le gouvernement confie aux enseignants et au personnel scolaire les pouvoirs et le soutien nécessaires pour appliquer le code de vie de leur établissement en imposant les sanctions prévues par celui-ci, sans crainte de représailles, notamment des travaux communautaires dans une perspective réparatrice. (amendée)