Congrès CRCAQ 2024 : une autre preuve de l’influence de la Relève !

 

 13 septembre 2024

La Commission de la Relève de la Coalition Avenir Québec (CRCAQ) est très fière du retentissant succès de son dernier Congrès annuel, qui s’est déroulé le 7 septembre dernier à Saint-Hyacinthe. Sous le thème « L’École qu’on aime », cet événement fut l’occasion pour les membres présents de discuter de l’avenir de l’éducation au Québec et d’aborder des sujets aussi variés que le parascolaire, les modèles éducatifs et le civisme à l’école. 

La journée a débuté avec une allocution des ministres Bernard Drainville et Pascale Déry, suivi d’un discours passionné livré par notre présidente, Aurélie Diep, dans lequel elle a fait un vibrant plaidoyer en faveur d’une école qui fait une place pour tout le monde, dans une culture de respect mutuel. Elle en a profité pour lancer un appel à tous les jeunes nationalistes qui voudraient joindre le mouvement de la CRCAQ. 

 

« La Relève caquiste, c’est LE mouvement des jeunes nationalistes, des

jeunes ambitieux, des jeunes pragmatiques. On est des centaines de jeunes de 16 à 30 ans, qui sont là pour les bonnes raisons.

Et on va avoir besoin de vous dans les prochaines années. Pour continuer de réfléchir au Québec qu’on veut, au Québec qu’on aime…et pour faire réélire notre gouvernement en 2026! » 

– Aurélie Diep

 

La journée s’est poursuivie dans une toute nouvelle formule, dans laquelle des panels d’experts étaient appelés à se prononcer sur chacun des thèmes en même temps que les plénières où les membres pouvaient s’exprimer sur les propositions qui leur étaient soumises, ou encore poser des questions aux panélistes. Chaque panel se terminait avec la mise aux voix des propositions liées au thème. 

Nous avons également eu droit à une conférence de la championne de boxe Marie-Ève Dicaire, ainsi qu’à une allocution des députées et des ministres hôtesses, Chantal Soucy et Suzanne Roy. La journée s’est terminée avec un discours du premier ministre, François Legault, qui a félicité les membres de la CRCAQ pour leur implication. Il en a en outre profité pour demander au ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, de préparer un plan pour ramener la discipline et le civisme dans les classes, annonce que la Relève salue. 

 

« Le respect se perd… C’est vrai à l’égard des policiers, c’est vrai à l’égard des enseignants, c’est vrai à l’égard des élus. C’est comme si tout le monde avait des droits, mais comme si personne n’avait de devoirs. Et c’est comme si on n’avait pas le droit de sanctionner personne ! » 

– François Legault

 

En rappel, voici les propositions adoptées par les membres lors des plénières : 

Pour des élèves actifs et impliqués

1.1 La Commission de la Relève de la CAQ propose d’encourager l’activité physique en assurant le déploiement d’activités parascolaires sportives récréatives et en rendant accessibles les installations et équipements sportifs des écoles en dehors des heures de cours.

1.2 La Commission de la Relève de la CAQ propose que la participation aux activités parascolaires, tant au primaire qu’au secondaire, soit formellement reconnue par une attestation ou une inscription au bulletin scolaire.

 

De multiples voies vers la réussite

2 La Commission de la Relève de la CAQ propose d’instaurer des programmes d’obtention d’un Diplôme d’études secondaires en 4 ou 6 ans, et de permettre la poursuite d’une formation professionnelle durant les études secondaires.

 

Instaurer une culture du civisme

3.1 La Commission de la Relève de la CAQ propose de promouvoir le civisme à l’école en faisant du vouvoiement envers les enseignants et le personnel scolaire la norme dès la maternelle; en généralisant le port de l’uniforme au secondaire; et en impliquant les jeunes dans les tâches de l’école. (amendée)

3.2 La Commission de la Relève de la CAQ propose que les élèves coupables de violence et d’intimidation, ainsi que leurs parents, soient tenus d’assister à des formations obligatoires visant à réparer leurs actions et à changer de comportement.

3.3 La Commission de la Relève de la CAQ propose que le gouvernement confie aux enseignants et au personnel scolaire les pouvoirs et le soutien nécessaires pour appliquer le code de vie de leur établissement en imposant les sanctions prévues par celui-ci, sans crainte de représailles, notamment des travaux communautaires dans une perspective réparatrice. (amendée)

 

Civisme à l’école : il est temps de sonner la fin de la récréation!

 

 30 août 2024

Depuis quelques années, on constate tristement une hausse de la violence et du manque de civisme à l’école. Cette tendance préoccupante remet en cause le droit à l’éducation de tous les élèves. Il est grand temps que la classe politique, en particulier les jeunes comme nous, prenne leur défense pour remettre le respect au cœur de l’école. 

À la Commission de la Relève de la CAQ, nous croyons qu’il est essentiel que notre génération participe à dessiner l’école québécoise de demain. La Relève en débattra lors de son congrès le 7 septembre prochain à Saint-Hyacinthe, sous le thème de L’École qu’on aime.

À nos yeux, la première condition du redressement de l’école québécoise consiste à ramener une culture de civisme envers les enseignants, le personnel scolaire et les autres élèves. Un climat de classe respectueux constitue la base sans laquelle rien n’est possible, une responsabilité nécessaire pour concrétiser le droit à l’éducation des jeunes Québécois.

La majorité des élèves paie pour les écarts d’une minorité bruyante

Chaque minute passée par les enseignants à « faire de la discipline » plutôt qu’à enseigner est une minute perdue pour la majorité d’élèves qui, eux, sont à l’école pour apprendre. Quand une minorité bruyante dérange, ce sont tous ceux et celles qui veulent s’instruire qui en paient le prix.

Les enseignants et le personnel scolaire qui subissent le manque de respect, et parfois même de la violence physique, sont tout aussi affectés. Si j’ai moi-même choisi de consacrer ma carrière à l’enseignement, c’est parce que j’aime les jeunes et que je souhaite les aider à apprendre et à se développer comme personnes. Les tristes cas de violence contre les enseignants, qui font de plus en plus souvent les nouvelles, ne donnent pas envie de rejoindre la profession, et mettent à mal la motivation des enseignants en poste. Tout le monde gagne dans un climat de classe sain, qui donne envie d’apprendre.

Ramener le civisme dans la classe

La Relève caquiste propose donc un coup de barre pour ramener le civisme dans les classes, et sonner la fin de la récréation pour la petite minorité d’élèves qui empêche tous les autres d’aimer l’école. Cela passe d’abord par le retour d’un sens du décorum, et c’est pourquoi nous proposons de généraliser le port de l’uniforme au secondaire, de refaire du vouvoiement la norme dès le 3e cycle du primaire et d’impliquer les jeunes dans les tâches de leur école. La courtoisie que l’on attend en société doit se refléter à l’école.

Malgré tout, des comportements répréhensibles restent trop souvent impunis, notamment en raison de la désolidarisation de parents qui prennent systématiquement la défense de leur enfant, même lorsqu’il est dans le tort. Les écoles doivent donc avoir les pouvoirs nécessaires pour imposer les sanctions appropriées. Les parents demeurent responsables des actions de leurs enfants, et c’est pourquoi nous suggérons que les parents d’élèves coupables de violence et d’intimidation soient tenus de les accompagner à une formation obligatoire pour changer leur comportement et réparer leurs actions. Si l’instruction est l’affaire de l’école, l’éducation demeure celle des parents.

Nous rêvons d’une école stimulante, qui valorise l’implication parascolaire et la pratique du sport. Un milieu qui offre plusieurs voies vers la réussite, qui sait s’adapter aux multiples besoins et passions des élèves. Cette vision n’est possible que si nous avons le courage de rendre l’école sécuritaire et accueillante. Notre génération doit porter cette cause pour ceux et celles qui suivront!

 

Aurélie Diep,

Présidente de la Relève de la CAQ

 

Conseil général de la CAQ : une présence remarquée pour la Relève !

 

 3 juin 2024

La Commission de la Relève de la CAQ tient à souligner la forte présence de ses membres lors du Conseil général de la CAQ, qui s’est déroulé le 25 mai dernier à Saint-Hyacinthe sous le thème « Un Québec en changement ». Les membres jeunes ont brillé par la qualité de leurs propositions et de leurs interventions. Retour sur un samedi mémorable. 

L’ensemble des huit résolutions parrainées par la Relève, consignées dans un cahier de propositions portant sur le numérique, ont été adoptées lors des plénières. Ces propositions portaient sur des sujets aussi variés que les réseaux sociaux, l’intelligence artificielle, la téléconsultation et les écrans. Vous pouvez les trouver à la fin de ce texte. 

La Relève a eu la chance de pouvoir compter sur des membres engagés, certains participant à leur premier Conseil général, qui ont défendu ses idées avec vigueur. C’est une réelle fierté de les voir évoluer au sein du parti et de faire avancer les valeurs de la jeunesse québécoise ensemble. 

La présidente de la CRCAQ, Aurélie Diep, a livré un discours poignant où elle est revenue sur les réalisations de la Relève de ces derniers mois. Elle a aussi mentionné l’importance des résolutions de l’aile jeunesse, en particulier celle proposant l’instauration d’une majorité numérique, qui a fait l’objet d’une couverture médiatique exceptionnelle dans les dernières semaines. 

Dans son discours de fin de conseil, le premier ministre du Québec, François Legault, a annoncé la tenue d’une commission parlementaire spéciale transpartisane qui se penchera sur l’effet du numérique et des écrans sur les jeunes. Cette annonce représente un gain important pour la Relève, fruit de plusieurs semaines de travail acharné. La CRCAQ sera présente tout au long des travaux de la commission pour faire valoir ses positions en faveur d’une plus grande protection des jeunes sur Internet, un engagement de longue date des jeunes caquistes. 

La Relève tient à remercier tous ses membres qui ont participé au Conseil général. Votre présence a contribué à faire de cet événement un succès pour les jeunes ! Un grand merci également aux élus qui se sont entretenus avec la Relève, l’intérêt que vous portez envers la jeunesse est tout à votre honneur. 

 

Voici les propositions amendées parrainées par la CRCAQ



La majorité numérique à 16 ans: vos questions, nos réponses !

 

 23 mai 2024

Le dévoilement de notre proposition la semaine dernière a engendré plusieurs interrogations.

Nous vous avons entendu. Voici les réponses à toutes vos questions !

 

  • Pourquoi limiter les réseaux sociaux ? 

Selon les experts, les réseaux sociaux créent souvent une dépendance, surtout à l’adolescence, alors que le cerveau est en plein développement. Ils ont aussi des effets néfastes sur la socialisation, le sommeil, l’attention et la santé mentale, en plus des risques de cyberintimidation, de leurre et de partage d’images sans consentement. 

 

  • Pourquoi 16 ans ? 

Au Québec, à 16 ans, on peut avoir un permis de conduire et on a le droit de quitter l’école. On devient assez mature pour faire nos propres choix. On est plus indépendant et on se dirige vers la vie d’adulte. C’est également l’âge qui est recommandé par plusieurs experts de la question. 

 

  • Comment la vérification de l’âge serait appliquée ? 

Notre proposition est de mettre en place d’une vérification RIGOUREUSE et obligatoire de l’âge pour pouvoir ouvrir un compte sur les réseaux sociaux, contrairement à ce qui se fait actuellement. Cette responsabilité pourrait être celle d’un intermédiaire neutre, comme c’est prévu en France ou des plateformes elles-mêmes. Les plateformes ne sont pas au-dessus de la loi : si elles ne respectent pas leurs obligations, des sanctions leur seraient imposées. 

 

  • Quels réseaux sociaux sont visés ? 

Les réseaux visés seraient uniquement ceux avec un défilement infini, avec des algorithmes addictifs et qui recueillent nos données personnelles en vue de nous montrer de la publicité ciblée. Les applications de messagerie écrite ne seraient pas concernées par l’interdiction. 

 

  • On ne devrait pas plutôt miser sur la sensibilisation ?

L’un n’empêche pas l’autre ! On veut user de la pédagogie pour conscientiser les jeunes aux risques de ces plateformes et leur permettre de gagner en maturité et en connaissances avant de s’y inscrire. D’ailleurs, le nouveau cours de Culture et citoyenneté québécoise comporte un volet sur l’éducation au numérique. 

 

  • N’est-ce pas la responsabilité des parents ? 

Les parents sont souvent démunis face à l’évolution des réseaux sociaux. C’est difficile pour eux de surveiller tous les contenus que consomment leurs enfants. Les réseaux sont une réalité parfois difficile à comprendre. Les plateformes ont un rôle à jouer, on ne peut pas mettre toute la responsabilité sur les épaules des parents, qui pourraient même tirer du positif. 

 

  • À partir de quand ça s’appliquerait ? 

La mesure ne s’appliquerait pas aux jeunes qui ont présentement un compte sur les réseaux sociaux. Ainsi, on pourrait exiger une vérification des nouveaux comptes seulement, ou encore augmenter graduellement l’âge de l’interdiction, chaque année, jusqu’à 16 ans. Les changements seraient minimes grâce à une transition en douceur. 

 

  • Donc vous êtes contre les réseaux sociaux ? 

Pas du tout. Ce sont d’excellents outils pour garder contact avec ses proches et pour se divertir de temps en temps. Ce sont les abus dans leur utilisation qu’il faut prévenir. C’est pourquoi nous croyons qu’il est préférable de mieux les encadrer pour en tirer tous les bénéfices. 

 

 

Ma génération a été celle des cobayes de Meta!

 

 16 mai 2024

« J’ai 22 ans et, comme tous les jeunes de ma génération, j’ai grandi avec les médias sociaux. Pendant notre enfance, nos sociétés se sont lancées dans une grande expérience dont nous avons été les cobayes, alors que l’on ignorait les conséquences de ces plateformes sur notre développement et notre santé mentale. Maintenant que s’amorce un réveil collectif sur cette question, notre génération doit avoir son mot à dire. »

À la Commission de la Relève de la CAQ, nous avons vu directement les effets que les réseaux sociaux ont eus sur nous-mêmes et sur notre entourage. Nous avons été confrontés à une réalité que les générations précédentes n’ont pas vécue, et qu’elles peuvent difficilement saisir. Moi-même, en tant qu’étudiante en enseignement, je constate les conséquences des médias sociaux sur des élèves du primaire. Nous ne pouvons pas rester les bras croisés.

L’arrivée de plus en plus précoce des jeunes sur les médias sociaux a amené avec elle des dangers que nos parents n’ont pas dû affronter à notre âge, comme la circulation d’images intimes de mineurs sans consentement dans les écoles. Comme jeunes, c’est notre droit à l’image qui est affecté: les plateformes numériques devraient avoir l’obligation de supprimer rapidement les images qui portent atteinte à notre dignité lorsque nous en faisons la demande, sous peine de sanctions. Autant pour la cyberintimidation et le harcèlement que pour la pornographie juvénile, il faut agir pour rendre internet plus sécuritaire pour les mineurs. Ces tristes événements, lorsqu’ils ont lieu, se font presque toujours à l’insu des parents, et on ne peut pas laisser ce fardeau sur leurs seules épaules. Les plateformes doivent assumer leurs responsabilités.

Plus largement, les effets addictifs et nocifs des médias sociaux sur notre socialisation, notre sommeil, notre attention et notre santé mentale sont bien documentés par les experts. Nous dormons moins bien, nous voyons moins nos amis en personne, notre capacité d’attention régresse en classe, et certains d’entre nous développent une véritable dépendance à ces plateformes souvent conçues pour nous rendre accros. Il est temps que l’on commence à traiter les médias sociaux pour ce qu’ils sont: des produits addictifs, au même titre que l’alcool, le cannabis et les jeux de hasard. Ainsi, nous croyons qu’il est devenu nécessaire de fixer à 16 ans l’âge minimum pour ouvrir un compte sur les réseaux sociaux, et de l’appliquer rigoureusement, notamment à l’aide de technologies déjà employées par les géants du web. Comme pour acheter de la bière ou un billet de loterie, il devrait être normal de vérifier l’âge des utilisateurs, et ce, pour leur propre sécurité.

Nous sommes conscients que ces propositions audacieuses feront débat. Toutefois, nous ne pouvons laisser Facebook, Instagram, Snapchat, TikTok et Google continuer de mettre à risque la santé physique et mentale des jeunes sans encadrement. Le Québec a toujours été à l’avant-garde en matière de protection de la jeunesse, et une fois de plus, nous pouvons être des précurseurs. Ma génération, qui a grandi avec ces plateformes, a maintenant un rôle central à jouer pour les encadrer et les rendre plus sécuritaires.

– Aurélie Diep, présidente de la Commission de la Relève de la CAQ

 Source : Le Journal de Québec 

Budget Girard 2024 : responsable, mais sans oublier la jeunesse

 

 13 mars 2024

La Commission de la Relève de la Coalition Avenir Québec (CRCAQ) est globalement satisfaite du budget présenté par le ministre des Finances, Eric Girard. Les priorités de la Relève et de la jeunesse québécoise y sont bien représentées et la pérennité des missions de l’État est assurée pour les décennies à venir.

Le gouvernement revient aux valeurs fondamentales de la CAQ : l’efficacité de l’État, le soutien aux familles, l’amélioration des services publics et, bien sûr, l’éducation, la priorité des priorités, tant pour la Relève que pour le parti et le premier ministre. 

Nous saluons l’intention du ministre d’élaborer, pour la prochaine année, un plan détaillé de retour à l’équilibre budgétaire. Il a fait de cet objectif un engagement personnel et il peut être assuré de l’entière confiance de la Relève dans son aboutissement. Nous saluons également le maintien des versements au Fonds des générations, un outil qui s’avère indispensable pour assurer l’équité entre les générations. 

Dans le contexte actuel, l’État québécois doit revenir à l’essentiel, ses missions fondamentales, et ce, de façon durable. La pandémie et le ralentissement économique actuel ont mis en lumière ses failles. Il est grand temps de les colmater. Ainsi, l’optimisation annoncée par Eric Girard est une occasion en or d’assurer la pérennité du modèle québécois afin que nos enfants et petits-enfants puissent à leur tour jouir des mêmes privilèges que nous. 

Nous demandons donc au gouvernement, dans le cadre du plan de retour à l’équilibre budgétaire, de faire de l’équité intergénérationnelle un critère phare dans toute réévaluation des programmes. Nous lui demandons également de ne pas sacrifier les investissements nécessaires à l’atteinte de cet objectif, notamment en ce qui concerne l’adaptation aux changements climatiques et le vieillissement de la population. La pensée sur le long terme doit guider l’action du gouvernement.  

Le gouvernement de la CAQ ne fera pas les mêmes erreurs commises pendant la période d’austérité libérale – le vrai prix des surplus – et du déficit zéro des années 1990 et 2000. Ces pénibles resserrements n’auront eu que des effets temporaires. Avec la CAQ, le retour à l’équilibre ne se fera pas au détriment des employés et des infrastructures de l’État. Et surtout, ce redressement sera durable. 

Le gouvernement a la responsabilité, en contexte de ralentissement économique, de stimuler l’économie québécoise en investissant dans les domaines stratégiques créateurs de richesse. La CAQ poursuit cette voie notamment avec la filière batterie, le plus important chantier de développement économique depuis les grands projets de barrages du siècle dernier. 

Les oppositions vont dénoncer le déficit et faire abstraction du reste. Mais ne pas agir aurait été beaucoup plus irresponsable. Le plus grand déficit – et le plus dangereux – c’est le déficit d’entretien de nos infrastructures et de développement de notre économie et de la main-d’œuvre, fruit de décennies d’inaction des gouvernements libéraux et péquistes. Ces failles commencent tout juste à se résorber grâce aux actions de la CAQ, mais c’est un processus long qui prendra encore plusieurs années. Les investissements que l’on fait sont non seulement une nécessité, ils constituent une obligation morale envers les prochaines générations. La Relève veillera à ce qu’elles ne soient pas oubliées. 

 

Faits saillants du budget salués par la

Relève :

9,3 G$ pour la lutte contre les changements climatiques pour la période 2024-2029 soit une bonification de 2,6 G$ par rapport au Plan de mise en œuvre 2021-2026.

818,7 M$ pour la réussite éducative des jeunes (rétention du personnel, réussite des élèves, entretien du parc immobilier scolaire, soutien aux organismes partenaires en éducation).

738,0 M$ pour assurer la protection de la jeunesse et la santé mentale.

420,5 M$ pour assurer la réussite dans l’enseignement supérieur.

187,1 M$ pour la protection de la langue française et la culture. 

107,5 M$ pour soutenir la relève agricole, le développement durable de l’agriculture et les producteurs de boissons alcoolisées.

482,5 M$ sur quatre ans pour assurer l’accès au logement.

Nos invitées au brunch pour la Journée internationale des droits des femmes

 

 29 février 2024

En l’honneur de la Journée internationale des droits des femmes, la Commission Relève de la Coalition Avenir Québec organise un brunch, en compagnie de trois femmes marquantes, le dimanche 10 mars. Cet événement permet de souligner les progrès accomplis sur la question des droits des femmes au Québec, mais aussi d’engager une conversation sur le chemin qu’il reste à parcourir. Les trois invitées féminines, Sarah Beaumier, Martine Biron et Pascale Déry, entameront une discussion avec la Présidente, Aurélie Diep, et la Vice-présidente, Maeve Lapointe, de la Relève, sur plusieurs sujets. La signification de cette journée internationale, les avancées gouvernementales, le leadership et la vie de famille seront les thématiques de conversation avec nos panélistes. 

Ces femmes ont, chacune, réussi à faire leur place dans leur secteur professionnel respectif. Leurs expériences ainsi que leurs conseils permettront d’influencer positivement d’autres jeunes femmes et de continuer à éduquer la population. 

 

Voici une courte présentation de nos trois conférencières : 

 

Sarah Beaumier, présidente du Conseil exécutif national de la CAQ

Sarah Beaumier est une professionnelle du marketing et une maman de trois enfants. Présentement, elle occupe les fonctions de Chef du marketing chez Polestar Canada, un manufacturier de voitures électriques issu du groupe Volvo, basé en Suède. Professionnelle chevronnée, Sarah Beaumier cumule plus de 15 ans de connaissances et d’expérience en marketing d’entreprise et image de marque. Elle a occupé des rôles de gestion clés dans des industries de premier plan notamment en pharmaceutique (Merck, Novo Nordisk) et en médias (Globe and Mail, agence Touché!). Elle est titulaire d’une maîtrise en sciences (MSc) de HEC Montréal et d’un baccalauréat en commerce (BComm) de l’Université Concordia.

Alors enceinte de son troisième enfant, elle a porté le programme de la CAQ en tant que candidate aux élections de 2018 dans Hochelaga-Maisonneuve. Elle fut, à nouveau, candidate en 2022 dans Mont-Royal-Outremont. Mme Beaumier est membre active depuis les débuts du Parti, il y a 10 ans, et est impliquée dans l’exécutif du Comité d’action local (CAL) de son comté. Cette dernière est familière avec les réalités terrain des militantes et militants caquistes qui offrent de leur temps pour faire avancer la vie démocratique de la Coalition Avenir Québec.

 

Martine Biron, députée dans Chutes-de-la-Chaudière, Ministre des Relations internationales et de la Francophonie, ministre responsable de la Condition féminine et députée de Chutes-de-la-Chaudière

Journaliste de premier plan, Martine Biron a été à l’emploi de Radio-Canada de 1993 à 2022.  Jusqu’à récemment, elle occupait le poste d’analyste politique et a couvert quotidiennement l’actualité politique québécoise sur les différentes plateformes des diffuseurs : télé, radio, Web. Toujours pour le compte de la société d’État, elle a aussi agi à titre de correspondante parlementaire, de correspondante nationale en Alberta et de journaliste-reporter, à Montréal.

Forte d’une prolifique carrière de pas moins de 35 ans, elle fait ses débuts comme journaliste à Radio-Nord, en 1986, avant de se retrouver à Télé-Métropole, à CKAC, puis à Radio-Canada, où elle évoluera pendant 29 ans. Reconnue pour sa rigueur et son envie d’en apprendre toujours plus, elle vient de compléter une maîtrise en Sciences politiques à l’Université Laval. Ce nouveau diplôme s’ajoute à son baccalauréat en Sciences politiques de l’Université du Québec à Montréal.

Elle est également mère de famille et nouvellement grand-mère.

 

 

Pascale Déry, Ministre de l’Enseignement supérieur et députée de Repentigny

Renommée pour ses grandes habiletés en communication et en relation avec les médias, Pascale Déry est bien connue du public québécois notamment pour ses 15 années passées au service de l’information des réseaux TVA et LCN. Que ce soit comme journaliste d’enquête à l’émission J.E ou comme cheffe d’antenne, elle a couvert les univers de la politique, de la culture, de l’économie, de la santé, de l’environnement tant sur la scène provinciale, nationale qu’internationale. 

Détentrice d’un baccalauréat en communication et journalisme de l’Université de Montréal et d’une maîtrise en science politique et droit international de l’Université du Québec à Montréal, elle a occupé, de 2020 à 2022, le poste de directrice des relations médias pour le Québec, l’Est du Canada et l’Europe chez Air Canada et agissait auparavant à titre de vice-présidente, communications, développement et relations externes à l’Institut économique de Montréal (IEDM). 

Pascale Déry s’avère avoir un haut niveau de leadership et de créativité. Elle fait preuve de beaucoup de rigueur, d’une grande facilité à travailler en équipe et est orientée vers l’écoute attentive et proactive. Comme nos deux autres conférencières, Pascale Déry est maman. 

 

Chaque personne est la bienvenue à cette rencontre et est invitée à venir écouter ces femmes inspirantes. Que ce soit pour en savoir plus sur le parcours de nos hôtes, par envie de s’instruire ou pour passer un bon moment, chacun a la possibilité de le faire en se joignant à nous le dimanche 10 mars.

 

Dévoilement des orientations politiques de la CRCAQ 2023-2025

 

 15 février 2024

La Commission Relève de la Coalition Avenir Québec (CRCAQ) est fière de présenter ses orientations politiques pour son mandat 2023-2025. Ce travail, fruit d’une réflexion approfondie et d’une considération des intérêts et priorités des jeunes Québécois, trace la voie d’un avenir prospère et durable pour notre nation. Elle guidera notre action auprès du gouvernement pour les deux prochaines années. 

Elle s’articule en trois grands axes : l’économie, l’environnement et la transition énergétique ; le bien-être des jeunes ; et la promotion de l’identité québécoise. Ces trois volets, qui reflètent à la fois les priorités de la CAQ et de tous les Québécois, y compris les jeunes, seront au coeur de l’engagement politique de la CRCAQ. 

Une économie du futur : forte et responsable

Dans un contexte mondial en constante évolution, il est essentiel de miser sur l’innovation et le développement durable pour assurer la croissance de notre économie. Le Québec a d’ailleurs tout en main pour bâtir une économie prospère et adaptée aux défis du 21e siècle. La CRCAQ reconnaît l’importance d’une économie forte et responsable qui profite à tous les Québécois.  

Concrètement, la CRCAQ incitera le gouvernement à :

  • Encourager l’entrepreneuriat et l’innovation en simplifiant les démarches administratives, en offrant des incitations fiscales aux jeunes entreprises et en augmentant la productivité. 
  • Investir la recherche et le développement au sein de secteurs clés tels que les technologies vertes, l’intelligence artificielle et la biotechnologie, par la création et la promotion de zones d’innovation partout au Québec.
  • S’adapter aux changements climatiques et diminuer les GES en misant sur le développement durable et l’économie circulaire, en investissant dans les technologies vertes et en modernisant nos infrastructures.
  • Promouvoir l’énergie verte québécoise en développant nos sources d’énergie renouvelable et en encourageant l’utilisation de technologies propres.

Une jeunesse épanouie, un Québec résilient

La jeunesse est l’avenir du Québec. De ce fait,  nous devons miser sur cette dernière pour assurer un meilleur futur à notre nation. La CRCAQ encourage le gouvernement à investir dans le bien-être des jeunes et à leur donner les outils nécessaires pour réussir. 

Concrètement, la CRCAQ incitera le gouvernement à :

  • Encourager les saines habitudes de vie, contrer la sédentarité et la dépendance aux écrans en investissant dans les infrastructures sportives et récréatives et en promouvant l’utilisation responsable des technologies numériques.
  • Bâtir un système d’éducation qui ne laisse personne derrière en investissant dans les programmes particuliers et dans les activités parascolaires, en modernisant les programmes d’étude et en offrant du soutien aux élèves en difficulté.
  • Assurer que tout le monde ait accès à de l’aide en santé mentale en améliorant l’accès aux psychologues et autres professionnels, en démystifiant les problèmes de santé mentale et en offrant des services de soutien aux jeunes qui en ont besoin.
  • Lutter contre l’itinérance et favoriser l’accès au logement et à la propriété en investissant dans la construction de logements abordables pour les jeunes et étudiants, en offrant des services de soutien aux personnes itinérantes et en facilitant la construction d’habitations.

Promouvoir la fierté d’être Québécois, ici et partout ailleurs

Le Québec est une nation unique avec une culture riche et une langue vibrante. On se doit de la mettre en valeur. Ainsi, la CRCAQ s’engage à affirmer et à faire rayonner la nation québécoise tant au Québec qu’à l’étranger.

Concrètement, la CRCAQ incitera le gouvernement à :

  • Affirmer le caractère distinct du Québec au Canada et dans le monde en usant de tous les outils constitutionnels dont le Québec dispose pour défendre son autonomie et en promouvant les intérêts du Québec sur la scène internationale.
  • Encourager l’usage du français aux études supérieures et en recherche en adaptant les critères de financement et en offrant des incitatifs à la traduction.
  • Assurer une francisation et une intégration adéquate des nouveaux arrivants en offrant des cours de français de qualité et en favorisant leur participation à la vie sociale, économique et culturelle du Québec. 
  • Mettre de l’avant les oeuvres québécoises et assurer leur découverte en soutenant les artistes et les créateurs québécois, en faisant la promotion de leur travail à l’étranger et en s’adaptant à la nouvelle réalité numérique.
  • Assurer la pérennité des médias d’information québécois en favorisant l’accès aux informations en français et en assurant la pérennité du modèle québécois de financement des médias.

La CRCAQ est convaincue que ces orientations permettront de bâtir un Québec plus prospère, plus fier et plus résilient. Nous invitons tous les Québécois et les Québécoises, plus particulièrement les jeunes, à se joindre à nous pour construire ensemble l’avenir du Québec. À la CAQ, la jeunesse québécoise, on y croit. 

Appel à l’action

Tous les militants, jeunes et moins jeunes, ont un rôle à jouer pour assurer le succès et la notoriété de la CRCAQ. Nous vous invitons à : 

  • Visiter le site web de la CRCAQ pour en savoir plus sur nos orientations politiques et nos propositions concrètes.
  • Suivre la CRCAQ sur les réseaux sociaux pour rester informé de ses activités et de ses évènements. (Facebook, X, Instagram)
  • Parler de la CRCAQ aux jeunes de votre entourage et des possibilités d’implication avec nous et dirigez-les vers nous, il nous fera plaisir de les accueillir ! 
  • Nous contacter ou commenter nos publications pour plus d’informations ou pour partager vos idées. 

Ensemble, bâtissons l’avenir du Québec!

2023 : une année fructueuse pour la CRCAQ !

 

 5 décembre 2023

L’année 2023 s’achève et c’est maintenant l’occasion de faire un retour en arrière et revenir sur les évènements qui ont marqué la Commission de la Relève de la CAQ au cours des derniers mois. 

Tout d’abord, 2023 a vu le déroulement de deux congrès politiques, le Congrès national  en mai à Sherbrooke et le Congrès de la CRCAQ en septembre à Saint-Jean-sur-Richelieu . 

Le Congrès national a donné lieu à l’adoption d’un grand nombre de propositions de la CRCAQ, dont la création d’un Régime enregistré d’épargne-études pour tous les petits Québécois nés ou adoptés, ainsi que l’instauration d’un tarif unique pour les transports en commun pour les jeunes. Une grande fierté pour l’équipe de la Relève. 

Le Congrès de la CRCAQ a pour sa part été l’occasion pour plus de 150 jeunes caquistes de se réunir et de parler des enjeux marquant la jeunesse, de l’économie à la l’identité, en passant par la politique de proximité et les réalités des peuples autochtones. Le congrès a aussi été marqué par l’élection d’une nouvelle présidente, Aurélie Diep, et d’une équipe renouvelée provenant des quatre coins du Québec. La CRCAQ a également pu remercier son président sortant, Victor Pelletier, pour toutes ses années d’implication. 

 

Au cours de l’année, la Relève a pu participer à plusieurs évènements du parti et d’organisations jeunesse. L’équipe était ainsi présente au Conseil des présidents de la CAQ, où elle a pu échanger avec les différents présidents de CAL de toutes les circonscriptions. Elle a par ailleurs participé à l’événement annuel Maitres chez vous organisé par Force jeunesse, avec une délégation de plus de 20 membres de la CRCAQ ! C’est sans compter les diverses activités organisées par la Relève. C’est toujours un plaisir d’échanger avec nos membres de tous horizons et de toutes les régions. 

 

 

 

Enfin, toute l’équipe de la Relève en profite pour vous souhaiter un très joyeux Noël et une année 2024 empreinte de santé et de prospérité ! Au plaisir de vous revoir l’année prochaine pour continuer de faire avancer les valeurs de la CAQ et le Québec !

De grands gains pour la Relève et la jeunesse du Québec !

 

 9 novembre 2023

Lors de son congrès en septembre dernier, la Commission de la Relève de la CAQ (CRCAQ) a signalé, par la voix de sa présidente, Aurélie Diep, que le premier enjeu auquel elle allait s’attaquer serait l’adaptation aux changements climatiques.

Le Québec, comme le reste du monde, est confronté à des événements météorologiques de plus en plus extrêmes, comme on a pu le constater l’été dernier. Ces phénomènes sont appelés à se multiplier encore ces prochaines années, malgré tous les efforts que font les Québécoises et Québécois pour lutter contre le réchauffement climatique.

La réalité est que nous ne sommes pas seuls dans le monde et que nous devons subir les conséquences des actions de la planète entière. C’est pourquoi il est impératif que, autant par responsabilité à court terme que par équité pour les prochaines générations, nous commencions dès maintenant à nous adapter à cette nouvelle réalité avec laquelle les jeunes devront composer.

Depuis, le gouvernement de la CAQ a multiplié les efforts en ce sens en annonçant plusieurs mesures, telles que la formation d’un comité d’experts et en injectant des fonds en adaptation. Mais nous avons le devoir d’en faire plus et d’impliquer tous les acteurs dans ce vaste chantier, incluant les municipalités.

La CRCAQ est donc fière de constater que la mise à jour économique présentée par le ministre des Finances, Eric Girard, le 7 novembre dernier prévoit de nouvelles sommes qui seront directement investies dans la transition climatique, pour un total de 961 M$. Avec le nouveau pacte fiscal avec les municipalités, celles-ci auront la latitude nécessaire pour répondre et s’adapter aux besoins locaux. Une grande part de ces investissements ira également au financement du transport en commun, un autre cheval de bataille de la Relève.

Parmi les autres bons coups contenus dans cette mise à jour, nous saluons également les sommes investies dans le logement, la lutte contre l’itinérance et la formation de la main-d’œuvre, ainsi que l’indexation du régime fiscal des particuliers et de l’assistance sociale au niveau de l’inflation, ce qui donnera un répit bien mérité à des millions de Québécoises et Québécois dans le besoin.

La situation économique actuelle frappe tout le monde et les gens s’attendent, avec raison, à ce que leur gouvernement leur vienne en aide pour contrer la hausse du coût de la vie, mais aussi à ce qu’il demeure prudent. En ce sens, la Relève souligne la décision du gouvernement de maintenir ses objectifs de retour à l’équilibre budgétaire et d’arrimer sa politique budgétaire à la politique monétaire pour lutter contre l’inflation. Le gouvernement se doit d’être solidaire, mais pas au détriment des générations futures.

Finalement, nous appuyons l’engagement du gouvernement d’accélérer la réduction de l’écart de richesse du Québec avec l’Ontario. Le gouvernement choisit la bonne stratégie, en impliquant tout le monde, tant le milieu académique que celui des affaires. Nous l’invitons à inclure dans sa feuille de route le repreneuriat par des jeunes et l’innovation par la recherche et le développement de jeunes entreprises. Le Québec a tout en son pouvoir pour être une puissance économique mondiale, notamment en économie verte, et les jeunes ont un rôle à jouer pour y arriver.

Cette mise à jour démontre que la CAQ est le seul parti avec un plan concret pour rendre le Québec plus riche, de façon durable et en ne laissant personne derrière. Nous sommes donc fiers de l’appuyer sans réserve.