D’aussi loin que je me souvienne, transmettre des connaissances et aider les autres ont toujours fait partie de mon ADN. Bien sûr, en vieillissant, j’ai voulu apprendre différents métiers, mais je revenais rapidement à ce qui me passionnait : l’enseignement. On m’a toujours dit : « Trouve un emploi qui te passionne et tu n’auras jamais l’impression de travailler ». Aujourd’hui, je peux dire que je réalise mon rêve, étudiant présentement au Baccalauréat en enseignement en adaptation scolaire et sociale. Et je ne me verrais pas ailleurs.
Dès l’école secondaire, on doit faire des choix qui auront un impact sur notre vie. À l’âge de 18 ans, on doit déjà se positionner et donner notre appui lors des élections. Heureusement, faire ce choix a été assez naturel pour moi. J’ai choisi assez tôt d’appuyer la CAQ et ce, avant même de commencer à m’impliquer activement en politique. Avec son passé comme ministre de l’Éducation et sa motivation de créer une nouvelle option politique dont les Québécois(es) seraient fier(ère)s, je me sentais déjà en confiance d’appuyer François Legault. Après quelques rencontres avec Monsieur Legault, où j’ai eu l’opportunité d’échanger avec lui sur des enjeux en éducation, je me suis dit qu’en tant que future enseignante, je devais lui laisser une chance de faire ses preuves comme Premier ministre. À ce moment-là, je me disais que, de toute façon, il ne pouvait pas faire pire que les autres.
La maternelle 4 ans accessible à tous, l’augmentation des services professionnels spécialisés dans le milieu de l’éducation et la valorisation de la profession d’enseignante, entre autres, ont toutes été des promesses de la CAQ pendant la dernière campagne électorale. La valorisation de la profession était la promesse qui me tenait le plus à cœur, car les conditions de travail des enseignant(e)s ne sont pas les plus évidentes, alors que nous formons pourtant les prochaines générations. Aujourd’hui, je suis fière de dire que j’ai choisi un Premier ministre qui respecte ses engagements. L’augmentation historique et notable des salaires des enseignants dès leur embauche en est d’ailleurs un exemple concret.
Étant maintenant étudiante et suppléante dans plusieurs écoles, je sais que j’ai choisi le bon métier. Je dois quand même dire que le travail est loin d’être terminé. C’est toi et moi qui pouvons faire bouger les choses au Gouvernement du Québec. C’est pourquoi je t’invite à te joindre à moi virtuellement les 18 et 19 septembre prochain lors du congrès de la Commission de la relève de la CAQ (CRCAQ) pour discuter des enjeux en éducation.
Une future enseignante qui est passionnée.
Par Arianne Lebel, vice-présidente CRCAQ et future enseignante