Budget Girard 2024 : responsable, mais sans oublier la jeunesse

 

 13 mars 2024

La Commission de la Relève de la Coalition Avenir Québec (CRCAQ) est globalement satisfaite du budget présenté par le ministre des Finances, Eric Girard. Les priorités de la Relève et de la jeunesse québécoise y sont bien représentées et la pérennité des missions de l’État est assurée pour les décennies à venir.

 

Le gouvernement revient aux valeurs fondamentales de la CAQ : l’efficacité de l’État, le soutien aux familles, l’amélioration des services publics et, bien sûr, l’éducation, la priorité des priorités, tant pour la Relève que pour le parti et le premier ministre. 

 

Nous saluons l’intention du ministre d’élaborer, pour la prochaine année, un plan détaillé de retour à l’équilibre budgétaire. Il a fait de cet objectif un engagement personnel et il peut être assuré de l’entière confiance de la Relève dans son aboutissement. Nous saluons également le maintien des versements au Fonds des générations, un outil qui s’avère indispensable pour assurer l’équité entre les générations. 

 

Dans le contexte actuel, l’État québécois doit revenir à l’essentiel, ses missions fondamentales, et ce, de façon durable. La pandémie et le ralentissement économique actuel ont mis en lumière ses failles. Il est grand temps de les colmater. Ainsi, l’optimisation annoncée par Eric Girard est une occasion en or d’assurer la pérennité du modèle québécois afin que nos enfants et petits-enfants puissent à leur tour jouir des mêmes privilèges que nous. 

 

Nous demandons donc au gouvernement, dans le cadre du plan de retour à l’équilibre budgétaire, de faire de l’équité intergénérationnelle un critère phare dans toute réévaluation des programmes. Nous lui demandons également de ne pas sacrifier les investissements nécessaires à l’atteinte de cet objectif, notamment en ce qui concerne l’adaptation aux changements climatiques et le vieillissement de la population. La pensée sur le long terme doit guider l’action du gouvernement.  

 

Le gouvernement de la CAQ ne fera pas les mêmes erreurs commises à travers la période d’austérité libérale – le vrai prix des surplus – et du déficit zéro des années 1990. Ces pénibles resserrements n’auront eu que des effets temporaires. Avec la CAQ, le retour à l’équilibre ne se fera pas au détriment des employés et des infrastructures de l’État. Et surtout, ce redressement sera durable. 

 

Le gouvernement a la responsabilité, en contexte de ralentissement économique, de stimuler l’économie québécoise en investissant dans les domaines stratégiques créateurs de richesse. La CAQ poursuit cette voie notamment avec la filière batterie, le plus important chantier de développement économique depuis les grands projets de barrages du siècle dernier. 

 

Les oppositions vont dénoncer le déficit et faire abstraction du reste. Mais ne pas agir aurait été beaucoup plus irresponsable. Le plus grand déficit – et le plus dangereux – c’est le déficit d’entretien de nos infrastructures et de développement de notre économie et de la main-d’œuvre, fruit de décennies d’inaction des gouvernements libéraux et péquistes. Ces failles commencent tout juste à se résorber grâce aux actions de la CAQ, mais c’est un processus long qui prendra encore plusieurs années. Les investissements que l’on fait sont non seulement une nécessité, ils constituent une obligation morale envers les prochaines générations. La Relève veillera à ce qu’elles ne soient pas oubliées. 

 

Faits saillants du budget salués par la Relève :

9,3 G$ pour la lutte contre les changements climatiques pour la période 2024-2029 soit une bonification de 2,6 G$ par rapport au Plan de mise en œuvre 2021-2026.

818,7 M$ pour la réussite éducative des jeunes (rétention du personnel, réussite des élèves, entretien du parc immobilier scolaire, soutien aux organismes partenaires en éducation).

738,0 M$ pour assurer la protection de la jeunesse et la santé mentale.

420,5 M$ pour assurer la réussite dans l’enseignement supérieur.

187,1 M$ pour la protection de la langue française et la culture. 

107,5 M$ pour soutenir la relève agricole, le développement durable de l’agriculture et les producteurs de boissons alcoolisées.

482,5 M$ sur quatre ans pour assurer l’accès au logement.

Nos invitées au brunch pour la Journée internationale des droits des femmes

 

 29 février 2024

En l’honneur de la Journée internationale des droits des femmes, la Commission Relève de la Coalition Avenir Québec organise un brunch, en compagnie de trois femmes marquantes, le dimanche 10 mars. Cet événement permet de souligner les progrès accomplis sur la question des droits des femmes au Québec, mais aussi d’engager une conversation sur le chemin qu’il reste à parcourir. Les trois invitées féminines, Sarah Beaumier, Martine Biron et Pascale Déry, entameront une discussion avec la Présidente, Aurélie Diep, et la Vice-présidente, Maeve Lapointe, de la Relève, sur plusieurs sujets. La signification de cette journée internationale, les avancées gouvernementales, le leadership et la vie de famille seront les thématiques de conversation avec nos panélistes. 

Ces femmes ont, chacune, réussi à faire leur place dans leur secteur professionnel respectif. Leurs expériences ainsi que leurs conseils permettront d’influencer positivement d’autres jeunes femmes et de continuer à éduquer la population. 

 

Voici une courte présentation de nos trois conférencières : 

 

Sarah Beaumier, présidente du Conseil exécutif national de la CAQ

Sarah Beaumier est une professionnelle du marketing et une maman de trois enfants. Présentement, elle occupe les fonctions de Chef du marketing chez Polestar Canada, un manufacturier de voitures électriques issu du groupe Volvo, basé en Suède. Professionnelle chevronnée, Sarah Beaumier cumule plus de 15 ans de connaissances et d’expérience en marketing d’entreprise et image de marque. Elle a occupé des rôles de gestion clés dans des industries de premier plan notamment en pharmaceutique (Merck, Novo Nordisk) et en médias (Globe and Mail, agence Touché!). Elle est titulaire d’une maîtrise en sciences (MSc) de HEC Montréal et d’un baccalauréat en commerce (BComm) de l’Université Concordia.

Alors enceinte de son troisième enfant, elle a porté le programme de la CAQ en tant que candidate aux élections de 2018 dans Hochelaga-Maisonneuve. Elle fut, à nouveau, candidate en 2022 dans Mont-Royal-Outremont. Mme Beaumier est membre active depuis les débuts du Parti, il y a 10 ans, et est impliquée dans l’exécutif du Comité d’action local (CAL) de son comté. Cette dernière est familière avec les réalités terrain des militantes et militants caquistes qui offrent de leur temps pour faire avancer la vie démocratique de la Coalition Avenir Québec.

 

Martine Biron, députée dans Chutes-de-la-Chaudière, Ministre des Relations internationales et de la Francophonie, ministre responsable de la Condition féminine et députée de Chutes-de-la-Chaudière

Journaliste de premier plan, Martine Biron a été à l’emploi de Radio-Canada de 1993 à 2022.  Jusqu’à récemment, elle occupait le poste d’analyste politique et a couvert quotidiennement l’actualité politique québécoise sur les différentes plateformes des diffuseurs : télé, radio, Web. Toujours pour le compte de la société d’État, elle a aussi agi à titre de correspondante parlementaire, de correspondante nationale en Alberta et de journaliste-reporter, à Montréal.

Forte d’une prolifique carrière de pas moins de 35 ans, elle fait ses débuts comme journaliste à Radio-Nord, en 1986, avant de se retrouver à Télé-Métropole, à CKAC, puis à Radio-Canada, où elle évoluera pendant 29 ans. Reconnue pour sa rigueur et son envie d’en apprendre toujours plus, elle vient de compléter une maîtrise en Sciences politiques à l’Université Laval. Ce nouveau diplôme s’ajoute à son baccalauréat en Sciences politiques de l’Université du Québec à Montréal.

Elle est également mère de famille et nouvellement grand-mère.

 

 

Pascale Déry, Ministre de l’Enseignement supérieur et députée de Repentigny

Renommée pour ses grandes habiletés en communication et en relation avec les médias, Pascale Déry est bien connue du public québécois notamment pour ses 15 années passées au service de l’information des réseaux TVA et LCN. Que ce soit comme journaliste d’enquête à l’émission J.E ou comme cheffe d’antenne, elle a couvert les univers de la politique, de la culture, de l’économie, de la santé, de l’environnement tant sur la scène provinciale, nationale qu’internationale. 

Détentrice d’un baccalauréat en communication et journalisme de l’Université de Montréal et d’une maîtrise en science politique et droit international de l’Université du Québec à Montréal, elle a occupé, de 2020 à 2022, le poste de directrice des relations médias pour le Québec, l’Est du Canada et l’Europe chez Air Canada et agissait auparavant à titre de vice-présidente, communications, développement et relations externes à l’Institut économique de Montréal (IEDM). 

Pascale Déry s’avère avoir un haut niveau de leadership et de créativité. Elle fait preuve de beaucoup de rigueur, d’une grande facilité à travailler en équipe et est orientée vers l’écoute attentive et proactive. Comme nos deux autres conférencières, Pascale Déry est maman. 

 

Chaque personne est la bienvenue à cette rencontre et est invitée à venir écouter ces femmes inspirantes. Que ce soit pour en savoir plus sur le parcours de nos hôtes, par envie de s’instruire ou pour passer un bon moment, chacun a la possibilité de le faire en se joignant à nous le dimanche 10 mars.

 

Dévoilement des orientations politiques de la CRCAQ 2023-2025

 

 15 février 2024

La Commission Relève de la Coalition Avenir Québec (CRCAQ) est fière de présenter ses orientations politiques pour son mandat 2023-2025. Ce travail, fruit d’une réflexion approfondie et d’une considération des intérêts et priorités des jeunes Québécois, trace la voie d’un avenir prospère et durable pour notre nation. Elle guidera notre action auprès du gouvernement pour les deux prochaines années. 

Elle s’articule en trois grands axes : l’économie, l’environnement et la transition énergétique ; le bien-être des jeunes ; et la promotion de l’identité québécoise. Ces trois volets, qui reflètent à la fois les priorités de la CAQ et de tous les Québécois, y compris les jeunes, seront au coeur de l’engagement politique de la CRCAQ. 

Une économie du futur : forte et responsable

Dans un contexte mondial en constante évolution, il est essentiel de miser sur l’innovation et le développement durable pour assurer la croissance de notre économie. Le Québec a d’ailleurs tout en main pour bâtir une économie prospère et adaptée aux défis du 21e siècle. La CRCAQ reconnaît l’importance d’une économie forte et responsable qui profite à tous les Québécois.  

Concrètement, la CRCAQ incitera le gouvernement à :

  • Encourager l’entrepreneuriat et l’innovation en simplifiant les démarches administratives, en offrant des incitations fiscales aux jeunes entreprises et en augmentant la productivité. 
  • Investir la recherche et le développement au sein de secteurs clés tels que les technologies vertes, l’intelligence artificielle et la biotechnologie, par la création et la promotion de zones d’innovation partout au Québec.
  • S’adapter aux changements climatiques et diminuer les GES en misant sur le développement durable et l’économie circulaire, en investissant dans les technologies vertes et en modernisant nos infrastructures.
  • Promouvoir l’énergie verte québécoise en développant nos sources d’énergie renouvelable et en encourageant l’utilisation de technologies propres.

Une jeunesse épanouie, un Québec résilient

La jeunesse est l’avenir du Québec. De ce fait,  nous devons miser sur cette dernière pour assurer un meilleur futur à notre nation. La CRCAQ encourage le gouvernement à investir dans le bien-être des jeunes et à leur donner les outils nécessaires pour réussir. 

Concrètement, la CRCAQ incitera le gouvernement à :

  • Encourager les saines habitudes de vie, contrer la sédentarité et la dépendance aux écrans en investissant dans les infrastructures sportives et récréatives et en promouvant l’utilisation responsable des technologies numériques.
  • Bâtir un système d’éducation qui ne laisse personne derrière en investissant dans les programmes particuliers et dans les activités parascolaires, en modernisant les programmes d’étude et en offrant du soutien aux élèves en difficulté.
  • Assurer que tout le monde ait accès à de l’aide en santé mentale en améliorant l’accès aux psychologues et autres professionnels, en démystifiant les problèmes de santé mentale et en offrant des services de soutien aux jeunes qui en ont besoin.
  • Lutter contre l’itinérance et favoriser l’accès au logement et à la propriété en investissant dans la construction de logements abordables pour les jeunes et étudiants, en offrant des services de soutien aux personnes itinérantes et en facilitant la construction d’habitations.

Promouvoir la fierté d’être Québécois, ici et partout ailleurs

Le Québec est une nation unique avec une culture riche et une langue vibrante. On se doit de la mettre en valeur. Ainsi, la CRCAQ s’engage à affirmer et à faire rayonner la nation québécoise tant au Québec qu’à l’étranger.

Concrètement, la CRCAQ incitera le gouvernement à :

  • Affirmer le caractère distinct du Québec au Canada et dans le monde en usant de tous les outils constitutionnels dont le Québec dispose pour défendre son autonomie et en promouvant les intérêts du Québec sur la scène internationale.
  • Encourager l’usage du français aux études supérieures et en recherche en adaptant les critères de financement et en offrant des incitatifs à la traduction.
  • Assurer une francisation et une intégration adéquate des nouveaux arrivants en offrant des cours de français de qualité et en favorisant leur participation à la vie sociale, économique et culturelle du Québec. 
  • Mettre de l’avant les oeuvres québécoises et assurer leur découverte en soutenant les artistes et les créateurs québécois, en faisant la promotion de leur travail à l’étranger et en s’adaptant à la nouvelle réalité numérique.
  • Assurer la pérennité des médias d’information québécois en favorisant l’accès aux informations en français et en assurant la pérennité du modèle québécois de financement des médias.

La CRCAQ est convaincue que ces orientations permettront de bâtir un Québec plus prospère, plus fier et plus résilient. Nous invitons tous les Québécois et les Québécoises, plus particulièrement les jeunes, à se joindre à nous pour construire ensemble l’avenir du Québec. À la CAQ, la jeunesse québécoise, on y croit. 

Appel à l’action

Tous les militants, jeunes et moins jeunes, ont un rôle à jouer pour assurer le succès et la notoriété de la CRCAQ. Nous vous invitons à : 

  • Visiter le site web de la CRCAQ pour en savoir plus sur nos orientations politiques et nos propositions concrètes.
  • Suivre la CRCAQ sur les réseaux sociaux pour rester informé de ses activités et de ses évènements. (Facebook, X, Instagram)
  • Parler de la CRCAQ aux jeunes de votre entourage et des possibilités d’implication avec nous et dirigez-les vers nous, il nous fera plaisir de les accueillir ! 
  • Nous contacter ou commenter nos publications pour plus d’informations ou pour partager vos idées. 

Ensemble, bâtissons l’avenir du Québec!

2023 : une année fructueuse pour la CRCAQ !

 

 5 décembre 2023

L’année 2023 s’achève et c’est maintenant l’occasion de faire un retour en arrière et revenir sur les évènements qui ont marqué la Commission de la Relève de la CAQ au cours des derniers mois. 

Tout d’abord, 2023 a vu le déroulement de deux congrès politiques, le Congrès national  en mai à Sherbrooke et le Congrès de la CRCAQ en septembre à Saint-Jean-sur-Richelieu . 

Le Congrès national a donné lieu à l’adoption d’un grand nombre de propositions de la CRCAQ, dont la création d’un Régime enregistré d’épargne-études pour tous les petits Québécois nés ou adoptés, ainsi que l’instauration d’un tarif unique pour les transports en commun pour les jeunes. Une grande fierté pour l’équipe de la Relève. 

Le Congrès de la CRCAQ a pour sa part été l’occasion pour plus de 150 jeunes caquistes de se réunir et de parler des enjeux marquant la jeunesse, de l’économie à la l’identité, en passant par la politique de proximité et les réalités des peuples autochtones. Le congrès a aussi été marqué par l’élection d’une nouvelle présidente, Aurélie Diep, et d’une équipe renouvelée provenant des quatre coins du Québec. La CRCAQ a également pu remercier son président sortant, Victor Pelletier, pour toutes ses années d’implication. 

 

Au cours de l’année, la Relève a pu participer à plusieurs évènements du parti et d’organisations jeunesse. L’équipe était ainsi présente au Conseil des présidents de la CAQ, où elle a pu échanger avec les différents présidents de CAL de toutes les circonscriptions. Elle a par ailleurs participé à l’événement annuel Maitres chez vous organisé par Force jeunesse, avec une délégation de plus de 20 membres de la CRCAQ ! C’est sans compter les diverses activités organisées par la Relève. C’est toujours un plaisir d’échanger avec nos membres de tous horizons et de toutes les régions. 

 

 

 

Enfin, toute l’équipe de la Relève en profite pour vous souhaiter un très joyeux Noël et une année 2024 empreinte de santé et de prospérité ! Au plaisir de vous revoir l’année prochaine pour continuer de faire avancer les valeurs de la CAQ et le Québec !

De grands gains pour la Relève et la jeunesse du Québec !

 

 9 novembre 2023

Lors de son congrès en septembre dernier, la Commission de la Relève de la CAQ (CRCAQ) a signalé, par la voix de sa présidente, Aurélie Diep, que le premier enjeu auquel elle allait s’attaquer serait l’adaptation aux changements climatiques.

Le Québec, comme le reste du monde, est confronté à des événements météorologiques de plus en plus extrêmes, comme on a pu le constater l’été dernier. Ces phénomènes sont appelés à se multiplier encore ces prochaines années, malgré tous les efforts que font les Québécoises et Québécois pour lutter contre le réchauffement climatique.

La réalité est que nous ne sommes pas seuls dans le monde et que nous devons subir les conséquences des actions de la planète entière. C’est pourquoi il est impératif que, autant par responsabilité à court terme que par équité pour les prochaines générations, nous commencions dès maintenant à nous adapter à cette nouvelle réalité avec laquelle les jeunes devront composer.

Depuis, le gouvernement de la CAQ a multiplié les efforts en ce sens en annonçant plusieurs mesures, telles que la formation d’un comité d’experts et en injectant des fonds en adaptation. Mais nous avons le devoir d’en faire plus et d’impliquer tous les acteurs dans ce vaste chantier, incluant les municipalités.

La CRCAQ est donc fière de constater que la mise à jour économique présentée par le ministre des Finances, Eric Girard, le 7 novembre dernier prévoit de nouvelles sommes qui seront directement investies dans la transition climatique, pour un total de 961 M$. Avec le nouveau pacte fiscal avec les municipalités, celles-ci auront la latitude nécessaire pour répondre et s’adapter aux besoins locaux. Une grande part de ces investissements ira également au financement du transport en commun, un autre cheval de bataille de la Relève.

Parmi les autres bons coups contenus dans cette mise à jour, nous saluons également les sommes investies dans le logement, la lutte contre l’itinérance et la formation de la main-d’œuvre, ainsi que l’indexation du régime fiscal des particuliers et de l’assistance sociale au niveau de l’inflation, ce qui donnera un répit bien mérité à des millions de Québécoises et Québécois dans le besoin.

La situation économique actuelle frappe tout le monde et les gens s’attendent, avec raison, à ce que leur gouvernement leur vienne en aide pour contrer la hausse du coût de la vie, mais aussi à ce qu’il demeure prudent. En ce sens, la Relève souligne la décision du gouvernement de maintenir ses objectifs de retour à l’équilibre budgétaire et d’arrimer sa politique budgétaire à la politique monétaire pour lutter contre l’inflation. Le gouvernement se doit d’être solidaire, mais pas au détriment des générations futures.

Finalement, nous appuyons l’engagement du gouvernement d’accélérer la réduction de l’écart de richesse du Québec avec l’Ontario. Le gouvernement choisit la bonne stratégie, en impliquant tout le monde, tant le milieu académique que celui des affaires. Nous l’invitons à inclure dans sa feuille de route le repreneuriat par des jeunes et l’innovation par la recherche et le développement de jeunes entreprises. Le Québec a tout en son pouvoir pour être une puissance économique mondiale, notamment en économie verte, et les jeunes ont un rôle à jouer pour y arriver.

Cette mise à jour démontre que la CAQ est le seul parti avec un plan concret pour rendre le Québec plus riche, de façon durable et en ne laissant personne derrière. Nous sommes donc fiers de l’appuyer sans réserve.

Compte-rendu Congrès Relève 2023

 

 18 septembre 2023

La relève de la Coalition Avenir Québec s’est réunie le 9 septembre dernier à Saint-Jean-sur-Richelieu pour le Congrès annuel de la CRCAQ. Au total, plus d’une centaine de jeunes étaient présents pour discuter d’enjeux tels que l’économie, l’identité et la langue française. 

Un premier panel, composé d’Emna Ben Jelili, de Force Jeunesse, de Luc Godbout, professeur de fiscalité et de finances publiques à l’Université de Sherbrooke, et d’Emna Braham, directrice générale de l’Institut du Québec, a abordé les enjeux économiques qui définiront le Québec de l’avenir et leurs impacts sur l’équité intergénérationnelle. 

Le second panel s’est intéressé à la politique municipale, plus particulièrement le rôle que les jeunes peuvent y jouer. Antoine Tardif et Audrey Boisjoly, respectivement maire de Victoriaville et mairesse de Saint-Félix-de-Valois, se sont entretenus avec les jeunes présents sur l’impact qu’ils peuvent avoir à l’échelle locale. 

Finalement, David Cartpentier, Étienne-Alexandre Beauregard et David Santarossa, trois intellectuels bien en vue au Québec, ont discuté d’immigration, de langue française et de culture québécoise, et du lien que ceux-ci entretiennent entre eux dans le contexte québécois, seule nation francophone en Amérique du Nord. 

Fait notable, le congrès a également accueilli Pierre Picard, un conférencier sur les questions autochtones, une première pour la CRCAQ. M. Picard a même souligné le grand intérêt que les jeunes lui ont témoigné et l’engagement de la Relève dans la réconciliation avec les Premières Nations et les Inuit. Le ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit, Ian Lafrenière, était d’ailleurs présent pour discuter de ces questions avec les jeunes présents. 

Outre M. Lafrenière, une grande délégation du caucus de la CAQ était présente au congrès, notamment Suzanne Roy, ministre de la Famille, Jean-François Roberge, ministre de la Langue française, Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur, et Louis Lemieux, député de Saint-Jean et député hôte. 

Ce congrès a été l’occasion de présenter le nouvel exécutif de la CRCAQ pour le mandat 2023-2025. Ce fut également l’occasion de dire au revoir à Victor Pelletier, président de la Relève depuis novembre et militant depuis 2016. La nouvelle présidente, Aurélie Diep, a livré un discours percutant, où elle a lancé un appel aux jeunes nationalistes du Québec de rejoindre la CRCAQ, où une place spéciale leur sera toujours réservée. Elle a aussi exposé les différents enjeux auxquels elle voudra s’attaquer, à commencer par l’adaption aux changements climatiques, qui sera son premier cheval de bataille comme présidente. 

La journée s’est terminée avec une allocution du premier ministre, François Legault, dans laquelle il a notamment parlé d’économie, de langue française et de numérique, en plus de saluer l’engagement de la Relève pour l’avenir du Québec. Il a ensuite pris du temps pour répondre aux questions des jeunes, ce qui a donné lieu à des échanges conviviaux et captivants. 

Un merci spécial en outre aux députés Audrey Bogemans, Yves Montigny, Mathieu Lévesque, Claude Reid et Shirley Dorismond pour leur présence et leur soutien pour la Relève.



Une génération, une économie en mutation

 

 28 août 2023

Face aux défis économiques actuels, le Québec se doit de développer davantage son potentiel afin qu’il devienne un leader mondial de la transition énergétique, tout en créant de la richesse qui permettra de réduire le fardeau fiscal des familles québécoises. Beaucoup de personnes suggèrent que la volonté de notre formation politique de réduire l’écart de richesse avec nos voisins prend la forme d’obsession. La création de richesse pour rendre les Québécois plus riches n’est pas une fin en soi, c’est ce qui nous permettra de nous donner les moyens d’investir davantage, notamment en éducation et en santé. En effet, les familles du Québec font face à plusieurs défis importants : la hausse des taux d’intérêt et des prix des biens. Pour faire face à ces bouleversements, notre gouvernement a mis en place des mesures efficaces pour aider les citoyens, mais les défis auxquels la population est confrontée restent importants.

Actuellement, le marché de l’emploi au Québec est confronté à une crise de la main-d’œuvre comme jamais auparavant. Avec un taux d’activité élevé et un taux de chômage historiquement bas, le milieu du travail doit user d’imagination pour attirer du personnel. Cette tendance n’ira qu’en s’accélérant, vec le vieillissement de la population et le départ à la retraite de milliers de travailleurs au cours des prochaines années. Bien sûr, cette situation est particulièrement bénéfique pour les employés, surtout pour ceux en début de carrière. Cependant, il faudra trouver des moyens pour permettre aux entreprises de continuer à croître sans continuellement être à la remorque d’un manque de personnel.

Finalement, en tant que militant engagé et profondément nationaliste, je veux intéresser davantage la jeune génération à la politique et aux défis économiques auxquels le Québec fait face. Notre génération est confrontée à un défi plus grand encore, celui du logement.. Avec cette hausse, les jeunes voient leur rêve devenir de plus en plus difficile à atteindre. Nous devons donc nous pencher sur les moyens à prendre pour permettre à la jeune génération d’atteindre la propriété. 

Avec tous ces défis auxquels nous sommes confrontés, je vous invite à vous joindre à nous le 9 septembre prochain lors du congrès de la Commission de la Relève de la CAQ (CRCAQ) pour discuter et réfléchir aux solutions que nous pouvons apporter à ces divers enjeux économiques.

 

Nicolas Blais



La jeunesse au coeur de la politique de proximité

 

 25 août 2023

Dans le discours public, on fait souvent référence à la faible participation des jeunes en politique. Il est vrai, quand l’on observe les taux de participation aux élections en général, que les jeunes de 18 à 35 ans votent en moins grand nombre et s’intéressent moins aux luttes électorales. Pourtant, depuis quelques années, de jeunes ambitieux font taire ce message négatif. En voyant la pile d’enjeux qui se dressent devant eux, mais aussi pour faire mentir les analyses et les commentaires de certains sur l’intérêt des jeunes pour le débat public, plusieurs jeunes femmes et jeunes hommes ont décidé de faire le saut dans la sphère politique, plus spécifiquement dans la sphère municipale.

Plusieurs raisons ont poussé ces personnes à se lancer dans une carrière au municipal, mais il est important de mentionner que la volonté de changement et l’ambition pour une société plus verte et plus prospère sont au cœur de leur motivation. Il faut être honnête, les enjeux sont très nombreux pour les prochaines générations : changements climatiques, protection de la langue française, accès au logement, etc. De plus, les jeunes qui décident de faire le saut y voient une belle manière de contribuer à la société. Une belle preuve de cette affirmation est l’aspect direct de l’implication municipale. Que ce soit dans les règlements de vitesses, la collecte des matières résiduelles et organiques ou encore l’octroi de projets pour un environnement sain et propre, les villes sont au cœur des changements concrets dans la vie des gens. On pense souvent que c’est le palier où les changements sont les plus accessoires ou abstraits, mais c’est tout le contraire : un conseil de ville peut changer, pour le mieux, les habitudes de sa ville et en améliorer la qualité de vie. On le voit, par exemple, avec les réductions de tarifs pour le transport en commun dans certaines municipalités où les jeunes brillent par leur implication à l’intérieur des conseils municipaux.

Cette implication des jeunes au municipal prouve que non seulement les futures générations forgent tranquillement leur place dans l’univers politique québécois, mais aussi que leur implication est bénéfique pour notre société. Cela donne de l’espoir pour voir une augmentation des candidatures jeunes en politique québécoise et canadienne dans les prochaines années, car les changements locaux que nous vivons avec la politique jeune au municipal doivent aussi se traduire dans les actions de nos dirigeants, tous paliers confondus. 

Pour discuter de ces parcours inspirants, nous aurons la chance de recevoir trois maires ayant été élus à un jeune âge à la tête de municipalités québécoises. C’est à ne pas manquer, lors du Congrès de la Commission de la Relève de la CAQ, le 9 septembre prochain, à Saint-Jean-sur-Richelieu ! 

 

Victor Pelletier



Le français, la clé d’une intégration réussie

 

 18 août 2023

L’immigration est depuis longtemps une réalité fortement ancrée au Québec. En effet, les nombreux avantages qui en découlent, tant sur le plan économique que culturel, ont été maintes fois démontrés. Il est toutefois pertinent de noter que si le Québec est une terre d’accueil de prédilection, les Québécois possèdent également un attachement profond envers leur culture, notamment leur langue, le français. La conciliation entre la préservation et la promotion des valeurs fondamentales du peuple québécois et l’intégration représente un défi auquel le gouvernement de la Coalition Avenir Québec accorde énormément d’importance.

En effet, si les enjeux de l’immigration et du nationalisme sont souvent mis en opposition, il est important de noter qu’ils ne sont pas forcément incompatibles. Les nouveaux arrivants enrichissent notre culture, et ce, depuis le début de l’histoire du Québec. L’identité québécoise est un peu le résultat d’un mélange culturel pour lequel ses habitants ont développé un réel sentiment d’appartenance. Ainsi, que nous soyons Québécois de première, de 10ᵉ ou même de 100ᵉ générations, tout le monde peut apporter sa pierre au magnifique édifice qu’est la nation québécoise. Des paysages féériques comme la Gaspésie aux monuments historiques de Québec, il ne manque pas de raison d’être fier de cette merveille nord-américaine.

Dans le but de faciliter l’intégration de tous, il est naturel de mettre l’accent sur le dialogue. Il est important d’être en mesure de se parler, d’échanger des idées. Dans cette optique, il s’avère donc nécessaire d’avoir une langue commune. Ainsi, on peut admirer une autre particularité de l’État québécois en Amérique du Nord, le français. De décennie en décennie, les Québécois ont affirmé et défendu leur langue. Cette dernière, qui a survécu à plusieurs tentatives, est devenue au fil des années, le cœur de l’identité québécoise. C’est donc naturel que la population cherche à préserver ce trait si unique qui nous rassemble. C’est dans ce but que les mesures de francisation pour les nouveaux ont été mises en place par notre gouvernement.

Naturellement, cette mesure amène plusieurs défis, et c’est de ces derniers qu’il sera question lors du Congrès de la Commission de la Relève de la CAQ, le 9 septembre prochain, où des panellistes passionnés permettront aux participants de mieux comprendre les enjeux liés à l’intégration, à l’immigration et à la langue. Un rendez-vous à ne pas manquer ! 

William Denis



Nos invités pour le congrès de la Relève

 

 15 août 2023

Dans le cadre du congrès de la Relève 2023, nous sommes fiers de vous annoncer nos invités pour nos trois panels et notre conférence.

C’est à ne pas manquer, lors du Congrès de la Commission de la Relève de la CAQ, le 9 septembre prochain, à Saint-Jean-sur-Richelieu ! 

Panel: Les défis générationnels de l’économie québécoise

Emna Ben Jelili, vice-présidente au contenu à Force Jeunesse
Emna Ben Jelili est vice-présidente au contenu à Force Jeunesse. Elle est également une étudiante au doctorat en santé publique en option systèmes, organisations et politiques de santé à l’École de santé publique de l’Université de Montréal (ESPUM). Dans les recherches qu’elle mène, elle s’intéresse principalement au financement en santé et aux déterminants politiques et économiques qui favorisent les investissements de long terme au Canada et dans les pays de l’OCDE.

Emna Braham est directrice générale de l’Institut du Québec.
Elle a intégré l’IDQ en 2020 où elle a été économiste principale, puis directrice adjointe.
Auparavant, elle a été économiste principale du Conseil de l’information sur le marché du travail à Ottawa et gestionnaire chez CIDE, une firme de service-conseil où elle a œuvré dans les domaines du développement économique, de l’éducation et du développement de la main-d’œuvre.
Emna est détentrice d’un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal et d’une maîtrise en économie de l’université Queen’s.

Luc Godbout
Avec une formation en sciences économiques, une maîtrise en fiscalité et un doctorat en droit public, Luc Godbout est professeur titulaire au département de fiscalité de l’Université de Sherbrooke, chercheur principal et titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques. Son expertise, dont témoignent ses nombreuses publications et conférences, l’a appelé et continue de l’appeler à conseiller les gouvernements et à intervenir dans les médias.

Panel: Regards sur la relève municipale

Antoine Tardif, Maire de Victoriaville
Détenteur d’une maîtrise en administration publique et diplômé de l’Université McGill en économie, politique et management, Antoine Tardif est élu maire de Victoriaville le 1er octobre 2021. Auparavant, il a occupé la fonction de conseiller du député fédéral de Richmond-Arthabaska Alain Rayes en plus d’avoir été maire de Daveluyville de 2013 à 2016. Gardien de but de haut niveau, il a défendu les couleurs du Titan d’Acadie-Bathurst, des Voltigeurs de Drummondville, des Remparts de Québec et de l’équipe universitaire de l’Université McGill, notamment. En plus de sa fonction actuelle de maire, il est membre du conseil administratif de la MRC d’Arthabaska, premier vice-président de la Fédération québécoise des municipalités, président de la Table des MRC du Centre-du-Québec et il est aussi président du conseil d’administration de la Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région.

Audrey Boisjoly, Mairesse de Saint-Félix-de-Valois
Audrey Boisjoly est diplômée du baccalauréat en Gestion publique de l’Université du Québec à Montréal. Elle s’est impliquée dans diverses organisations politiques et environnementales. Elle fut attachée politique du député provincial de la circonscription de Berthier ainsi que conseillère municipale de Saint-Félix-de-Valois. Depuis le 5 novembre 2018, elle est mairesse de Saint-Félix-de-Valois. Parallèlement à son rôle de mairesse, elle est administratrice à la Fédération québécoise des municipalités (FQM) à titre de représentante de Lanaudière en plus d’être 2e vice- présidente. Elle a d’ailleurs été présidente d’honneur du congrès 2019 de la FQM. Depuis 2020, elle est également administratrice de l’École nationale de la police du Québec.

Isabelle Lessard, Mairesse de Chapais
C’est dans sa quête de nouveaux défis que la jeune femme ambitieuse se lance dans la politique municipale en novembre 2021. Cette décision s’arrime parfaitement avec son parcours jusqu’à présent atypique. Une fois son diplôme d’études secondaires en main, ce sont finalement les études en relation d’aide qui l’emportent, après avoir d’abord tenté un parcours régulier au CÉGEP, suivi d’un détour en finances.
Isabelle fait partie de ceux qui sont confortables dans la routine, mais qui s’y ennuie facilement : elle a besoin de sentir que les actions qu’elle pose ont un impact autour d’elle. C’est d’ailleurs pourquoi elle a travaillé près de 3 ans avec les aînés en situation de vulnérabilité, avant de ressentir le besoin de s’émanciper en politique.
À l’aube de ses 2 ans comme mairesse, mais aussi comme présidente de l’organisme communautaire « Objectif Bienveillance » qu’elle a fondé avec ses proches et qui offre du soutien aux personnes vivant des moments difficiles, elle ne regrette pas du tout ses choix et a toujours hâte de savoir ce que demain lui réserve!

Conférence: Mieux comprendre le monde autochtone pour mieux interagir

Pierre Picard
Pierre Picard est membre de la Nation Huronne-Wendat.  Il possède une formation en approche d’intervention psycho-corporelle et une maîtrise en sexologie clinique et s’est d’abord spécialisé en matière d’agression sexuelle chez les Premières Nations du Québec.  Il dirige depuis plusieurs années le Groupe de recherche et d’interventions psychosociales en milieu autochtone (GRIPMA).  Conférencier, formateur, chercheur, superviseur clinique et chargé de cours à l’Université de Montréal en Santé publique à la Faculté de l’éducation permanente, il a conduit plusieurs travaux portant exclusivement sur les problématiques psychosociales en milieu autochtone et des moyens de guérison tenant compte des différences culturelles et identitaires propres aux Premières Nations du Québec.   Il siège comme expert sur plusieurs tables de travail ou de comités gouvernementaux et collabore régulièrement à l’élaboration de politiques, de programmes et de stratégies portant notamment sur la sécurisation culturelle en milieu autochtone.  Il est récipiendaire de la médaille des Premiers peuples remise par le Lieutenant-gouverneur du Québec pour l’année 2022.

Panel: Notre Québec, notre identité

Étienne-Alexandre Beauregard
Diplômé en philosophie et science politique à l’Université Laval, Étienne-Alexandre Beauregard étudie à la maîtrise en sociologie à l’Université du Québec à Montréal. En 2022, il publie aux Éditions du Boréal Le Schisme identitaire: Guerre culturelle et imaginaire québécois, un essai portant sur la question identitaire, encensé par de nombreux intellectuels et acteurs politiques. Il travaille maintenant comme rédacteur au cabinet du premier ministre du Québec.

David Carpentier
David Carpentier est candidat au doctorat et chargé de cours à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa. Ses champs d’expertise sont la gouvernance municipale, l’intégration des personnes immigrantes, l’aménagement de la diversité ethnoculturelle et le nationalisme. Il a publié en 2022 aux Presses de l’Université du Québec l’ouvrage La métropole contre la nation? La politique montréalaise d’intégration des personnes immigrantes. David est fermement engagé pour une société québécoise inclusive et une plus grande prise en compte de la diversité ethnoculturelle, linguistique, sexuelle et de genre. Son parcours lui a valu plusieurs reconnaissances, telles que : la Médaille académique d’or du Gouverneur général du Canada; le Prix du livre politique et la Médaille de l’Assemblée nationale, pour le meilleur mémoire de maîtrise sur la vie politique québécoise; et le Prix de la Relève de la Faculté de science politique et de droit de l’Université du Québec à Montréal. Il est actuellement membre des conseils d’administration de Fierté Montréal et du Fonds de recherche du Québec – Société et culture.

David Santarossa
Détenteur d’un baccalauréat en philosophie et de deux maîtrises, l’une en philosophie et l’autre en éducation, David Santarossa enseigne depuis quelques années le français ainsi que le cours Éthique et culture religieuse. On peut le lire régulièrement dans les pages « opinions » de différents journaux, dans la revue l’Action nationale et sur le site de la revue Argument. On peut aussi l’entendre sur les ondes de Radio VM ainsi qu’à QUB Radio où il discute de politique, de nationalisme et des guerres idéologiques qui divisent le Québec. Il a publié en 2022 son premier essai.